Et pour commencer l'année 2024
photo Wikipédia
Nous disons que la Vie vient des mains et qu'elle retourne dans les mains. C'est un proverbe.
2024 !
j'ai pris cette photo dans les années 80, je l'ai transformée pour le 31 décembre 2023 ...
Ne comptez pas sur moi pour souhaiter la réalisation de vos Vœux, car ce serait flatter les egos...
Des idées simples qui peuvent faciliter la Vie : ne pas dire "je veux" mais "j' aimerais bien", ne pas avoir de certitudes pour tout, ne pas utiliser les partages avec les autres pour se servir mais pour essayer de les servir au mieux...
Méditation pour la période de Noel
J'ai longtemps cheminé dans la vallée des larmes et j'ai erré, dans la forêt de l'erreur. J'ai commis des erreurs d'une gravité extrême et beaucoup ont souffert par ma faute. Mon prochain, je l'ai jugé et tourmenté. Je me suis jugé et tourmenté moi-même. Orgueilleux, menteur, envieux et avide, tout cela, au cours clé mes vies successives, je l'ai été. Des êtres ont pleuré et perdu toute espérance à la suite d'actes néfastes que j'ai perpétrés. Par mon comportement indigne, j'ai semé le doute et l'horreur parmi ceux qui m'étaient, dans le cours du temps, le plus chers. J'ai touché au plus profond de l'abîme et je me suis cru à jamais perdu, à jamais condamné. Cela, je viens de le revivre ici. J'ai connu la souffrance de ceux qui avaient souffert par ma faute. J'ai connu leur jugement et leur tourment, leur doute et leur horreur. J'ai connu les effets, les crimes de mon orgueil, de mes mensonges, de mon envie et de mon avidité. J'ai compris les terribles souffrances que j'ai endurées au cours de mes incarnations par l'action de la juste loi du karma, mais il m'a fallu bien des épreuves et bien des larmes pour racheter le mal que j'avais fait, car longtemps, trompé par mon ego, et choisissant la solution de facilité, je rejetais sur d'autres la responsabilité de mes malheurs, voulant ignorer que mes propres actions passées en étaient la cause et que je devais apprendre, expérimenter et comprendre les leçons de la vie pour être régénéré, C'est alors que la lumière est venue à l'occasion d'une épreuve si difficilement supportable que je n'aurais jamais cru pouvoir la surmonter. Au plus profond de moi-même, tandis que toute espérance m'abandonnait, j'ai entendu L'APPEL et je me suis dirigé vers la montagne qu'il m'était indiqué de gravir pour parvenir à la paix. Ah! comme la route qui y conduisait était difficile et combien de fois ai-je trébuché car le malheur, conséquence de ma conduite passée, me poursuivait encore bien que la direction m'ait été désignée. Mais, depuis l'appel, ce malheur, je le savais JUSTE et au lieu de me lamenter, au lieu de craindre, j'ai commencé à compatir à la souffrance des autres, à les aider, à les soutenir, à les prendre par la main pour les conduire au pied de la montagne de la paix et de la régénération. Ce n'est qu'ensuite, après bien des retours vers ceux qui gémissaient dans la vallée, le dos courbé sous le poids de mes propres et justes épreuves, que j'ai à mon tour franchi la porte étroite et que je me suis engagé sur le Sentier. J'avais, à ce moment-là, compensé déjà beaucoup de mes erreurs passées. La loi que je m'étais fixée était : HUMILITÉ ET AMOUR en toutes circonstances, dans toutes les situations, envers et contre tout. Mes difficultés, je les acceptais de la même façon. Jamais je n'étais résigné. J'acceptais POUR COMPRENDRE. C'est en gravissant le Sentier que je devais savoir vraiment et mesurer les souffrances que j'avais dû imposer à autrui pour mériter toutes celles que j'avais eu à supporter ensuite. Je me réjouissais d'avoir pu, avant même d'être admis à partager LA CONNAISSANCE LIBÉRATRICE, m'imposer une règle de vie dont je comprenais maintenant la valeur. Mais à cette satisfaction intérieure se mêlait la douleur et le repentir pour mes actes passés dont d'autres avaient retiré douleur et chagrin. Aussi mes pensées et mes actions se chargeaient-elles de plus d'humilité et d'amour encore. Et finalement, je connus la paix non seulement en progressant vers plus de connaissance, mais aussi en utilisant cette connaissance AU SERVICE D'AUTRUI. Je m'oubliais moi-même DANS LES AUTRES. Rien ne pouvait plus m'atteindre. L'AMOUR qui m'animait transformait tout et je rendais grâces pour chaque expérience rencontrée. La paix était descendue dans mon cœur, mes épreuves s'allégeaient de plus en plus. MA RÉCONCILIATION AVEC MOI-MÊME, AVEC MON MOI VÉRITABLE ÉTAIT ENGAGÉE. Elle devait ensuite se renforcer et devenir totale.
Après avoir revécu la période obscure, j'ai revécu, ici aussi, devant les Maîtres et le plus grand d'entre eux, les étapes de ma régénération. C'est alors que le don le plus sublime m'a été fait. La PAIX PROFONDE – cette paix qui m'avait été tant "souhaitée" et que j'avais tant "souhaité" moi-même aux autres – est descendue sur moi et a pris A JAMAIS possession de mon être.
Je vais maintenant retourner au monde pour y œuvrer, pour y SERVIR. Ma responsabilité est plus considérable que jamais et j'ai été averti que j'aurais à me garder avec vigilance des dangers auxquels j'ai succombé naguère, mais une opportunité m'est donnée de servir mieux et davantage. Ma loi demeure HUMILITÉ ET AMOUR.
Puisse mon expérience servir à vous qui m'entendez, qui me comprenez. Il n'est pas de circonstance, il n'est pas de situation, aussi tragique soit-elle, qui n'ait sa raison d'être. Il n'est pas d'abîme, aussi profond soit-il dont on ne peut émerger pour retrouver la lumière. A L'INVOLUTION SUCCÈDE L'EVOLUTION et au-dedans de chacun de nous réside ce segment d'éternité cosmique toujours prêt à répondre au moindre appel pour aider qui le veut vraiment à emprunter le chemin de la vérité. Avancez vers la Connaissance, appliquez cette connaissance et souvenez-vous que le disciple ne doit pas demander tant à être servi QU'A SERVIR et que le service s'accomplit PARTOUT et en particulier OU L'ON SE TROUVE, OU LES CIRCONSTANCES ET L'EXISTENCE NOUS ONT PLACES, car c'est là que nous devons être et assumer notre fonction de SERVITEUR. HUMILITÉ ET AMOUR... AIMER SANS RIEN DEMANDER EN RETOUR, SANS EXIGER RIEN. AIMER, TOUT SIMPLEMENT... AIMER !"
A l'origine, ce texte (dont les extraits ont été adaptés par moi) fut publié dans l'ouvrage Messages du Sanctum céleste écrit par Raymond Bernard (dernier chapitre)., ayant été édité et réédité plusieurs fois, il est de notoriété publique.
Ce texte a été l'objet d'une réédition avec de très nombreux détails complémentaires dans l'ouvrage publié en 1995 aux éditions Dervy sous le titre : Enseignements des Maïtres de la Connaissances Et les élément ajoutés sont très importants et situent les circonstances de ce texte. (page 327)
voir également le site des Baladins de la Tradition
et pour accompagner ! fermez les yeux et écoutez :
les commentaires des éditions d'origine de l'article ont été maintenus
Je sais ! (pour ceux qui savent, encore, tout et qui le disent)
et pour ceux qui voudraient le texte :
Paroles: Jean-Loup Dabadie. Musique: Philip Green 1974
Quand j'étais gosse, haut comme trois pommes
J'parlais bien fort pour être un homme
J'disais : je sais, je sais, je sais, je sais
C'était l'début, c'était l'printemps
Mais quand j'ai eu mes dix-huit ans
J'ai dit : je sais, ça y est, cette fois, je sais
Et aujourd'hui, les jours où je m'retourne
J'regarde la Terre où j'ai quand même fait les cent pas
Et je n'sais toujours pas comment elle tourne !
Vers vingt-cinq ans, j'savais tout : l'amour, les roses, la vie, les sous
Tiens oui l'amour ! J'en avais fait tout l'tour !
Mais heureusement, comme les copains, j'avais pas mangé tout mon pain :
Au milieu de ma vie, j'ai encore appris.
C'que j'ai appris, ça tient en trois, quatre mots :
Le jour où quelqu'un vous aime, il fait très beau
J'peux pas mieux dire : il fait très beau !
C'est encore ce qui m'étonne dans la vie
Moi qui suis à l'automne de ma vie
On oublie tant de soirs de tristesse
Mais jamais un matin de tendresse !
Toute ma jeunesse, j'ai voulu dire "je sais"
Seulement, plus je cherchais, et puis moins j'savais
Il y a soixante coups qui ont sonné à l'horloge
J'suis encore à ma fenêtre, je regarde, et j'm'interroge :
Maintenant je sais, je sais qu'on n'sait jamais !
La vie, l'amour, l'argent, les amis et les roses
On n'sait jamais le bruit ni la couleur des choses
C'est tout c'que j'sais ! Mais ça, j'le sais !
Le feuilleton du Clos Landar
Le feuilleton continue ..
.https://www.le-pays.fr/arbresle-69210/politique/clos-landar-lopposition-conteste_14416462/
Le conseil municipal pensait certainement, le 25 septembre dernier, clore un dossier datant de 2005 en cédant au groupe immobilier Maïa, le Clos Landar pour 1,05 million d’euros.
Une cession votée à la majorité, moins les quatre abstentions du groupe Atouts cœur de Sarah Boussandel et les deux votes contre du groupe L’Arbresle écologique et solidaire représenté par Caroline Faye et Sébastien Majerowicz. « Je ne sais pas si c’était la malédiction de Maître Philippe, mais, enfin, on arrive au bout de ce dossier », avait alors souligné le maire, sans savoir que cette vente allait connaître un nouveau rebondissement.
La semaine dernière en effet, les deux élus de ce groupe d’opposition ont déposé un recours gracieux auprès de la préfecture et de la mairie afin de faire annuler la délibération relative à cette vente. Ils estiment qu’il y a eu rupture dans l’égalité de traitement des candidats et que la procédure est illégale. « Sept projets ont été déposés suite à l’appel à candidature, expliquent-ils. Un critère précisait que la surface complémentaire à construire pour l’équilibre du projet devait être de l’ordre de 600 m 2 au maximum. La société Maïa a présenté un dossier avec une construction neuve de 996 m 2 . Elle ne devait donc pas être invitée à présenter son projet devant le jury. »
Les deux conseillers municipaux évoquent aussi un nouveau critère qui n’apparaissait pas dans l’appel à candidature, à savoir un prix plancher en dessous duquel la vente ne pourrait avoir lieu. « Ce critère a été ajouté sans en avertir ni les candidats, ni le conseil municipal, assurent-ils. Cela a écarté trois candidats sans qu’une possibilité de réévaluation de leur prix ne leur soit offerte. »
Contrairement, selon eux, à la société Maïa. Citant le procès-verbal du conseil municipal de septembre dernier, les deux élus relèvent une égalité de traitement. « Dans ce procès-verbal, vous évoquez un prix minimum fixé à 1,045 million d’euros, soulignent-ils. Mais vous avez souhaité négocier avec un candidat. Dans ce même document, il est écrit que “l’offre initiale de Maïa était d’un million d’euros. Nous les avons donc recontactés.” Vous avez ainsi offert un traitement particulier que vous avez refusé à l’ensemble des autres candidats. De notre point de vue, la délibération prise le 25 septembre dernier est donc illégale », ont-ils souligné dans le courrier adressé à la préfecture.
à suivre...
Handicaps (revu et corrigé en fonction de mon actualité)
A l'origine, j'ai écrit cela pour des Amis de Paris en...mai 2009 (!)
Que l’on soit handicapé ou parent d’enfant handicapé physique ou psychique, on vit sous le regard des autres. Mais quand on échange leurs regards, c'est tout autre chose ! Ils donnent plein de bons conseils mais on se rend compte qu'ils n'ont aucune idée du côté pratique, et si on veut les responsabiliser, plus personne. Bien souvent ils restent dans des théories issues de ce que l'on appelle le nouvel-âge mais souvent très superficielles. En ce qui me concerne, tout cela ne compte plus, mais j'ai eu à être témoin, même également partie prenante de tels problèmes avec des enfants ou des plus grands.(en plus avec les témoignages d'une amie infirmière en psychiatrie dans un service de jour).
La médecine officielle, malgré de très grands progrès, reste impuissante et ne voit que des solutions de facilité (médicaments plus ou moins forts) pour calmer...et que le sujet reste tranquille (j'ai eu le triste privilège de visiter de tels Services), on considère alors sans nuance de telles personnes comme des malades de psychiatrie ordinaire. C'est bien quand on a affaire par exemple à un centre, certes médical, mais également qui fait un gros travail psychologique en groupe et aussi en collaboration avec les parents ou l'entourage, bien souvent ces groupes fonctionnent en hôpital de jour, l'enfant rentrant en famille le soir. Et dans ce cas on demande à tout l'entourage de collaborer et petit à petit une intégration se fait par rapport aux autres, et la famille apprend à ne plus faire face à des regards ou des incompréhensions.
J'ai fait une longue recherche sur Google au sujet d'un psychiatre dont je ne retrouvais ni le nom ni les œuvres. C'est François Lelord
(lien wikipédia : François Lelord — Wikipédia (wikipedia.org)
dont l'ouvrage le plus important est le voyage d'Hector. Mais ce n'est pas le plus significatif de ses méthodes de travail pour faciliter la réinsertion, c'est l'un de ses livres précédents (comment gérer les personnalités difficiles ou la gestion du stress, je ne sais plus) qui avait été pour moi un véritable instrument de travail dans mes études et réflexions du moment. Et d'ailleurs cet ouvrage avait été conseillé publiquement par le directeur d'une école de profs de yoga.
On ne fait pas en France de différence vis-à-vis des malades. Un enfant atteint de déficience plus ou moins grande est soigné comme un grand malade psychiatrique, alors qu'il suffirait souvent d'un suivi simplement psychologique, certes avec des exercices, des tests, des entretiens. (c'est cela que préconise le docteur Lelord cité précédemment).
Une petite expérience personnelle déjà ancienne : nous avions rendu visite avec ma femme à une petite cousine de cette dernière chez ses parents, à la campagne. Cette petite souffrait d'un retard mental et physique, elle devait avoir 6/7 ans. Et bien on la considérait comme un bébé. Pendant que les adultes buvaient le café entre eux, je me suis occupé d'elle, je lui fait un bateau en papier, et des ombres chinoises avec les mains sur un mur, rien de compliqué des poules, un chien. Quand nous sommes partis elle m'a sauté dans les bras. Nous sommes retournés les voir quelques mois après : dès qu'elle m'a vu elle m'a pris par la main pour aller faire des ombres chinoises ! J'en ai encore de l'émotion. Cela n'est qu'un tout petit exemple pour donner une existence, une raison à un être.
Je me rappelle encore avoir eu un contact avec un centre lyonnais de la Communauté de l’Arche fondée par Jean Vanier : partout ils font un travail extraordinaire pour venir en aide, pour la réinsertion des personnes handicapées mentales, de préférence adolescents et jeunes adultes. Jean Vanier est un personnage hors du commun reconnu dans le Monde entier pour cette action (rappel : texte écrit en 2009 bien avant des révélations sur les excès du personnage). Et bien une première fois j’y ai rendu visite à un jeune qui était éducateur dans ce foyer, j’ai discuté avec les uns et les autres, participé modestement aux activités, et bien la fois suivante tout le monde m’attendait pour boire le thé !!!
Il suffit de leur faire comprendre qu’ils sont des êtres humains comme tout le monde, d’échanger d’égal à égal avec eux, et là déjà un grand pas est fait.
J'ai entre-aperçu sur la chaine Sénat (en 2009) le débat sur le vote de la nouvelle loi présentée pour réorganiser la psychiatrie : quelques minutes m'ont suffi car, une nouvelle fois on va privilégier le sécuritaire aux soins, le tout médical aux autres possibilités...tout en ayant une gestion comptable du personnel et des centres de soins...
Et j'ai rencontré dans mon cheminement d'autres exemples très graves dont je fus témoin actif, mais cela est une autre histoire...
Et lorsque on fréquente des personnes atteintes de tels symptômes psychiques, on se rend vite compte d'un besoin de reconnaissance, de tendresse et d'AMOUR, j'en ai encore fait l'expérience récemment...
Et, depuis quelques temps j'essaie de militer un peu au sein d'une Association de défense des Handicapés de mon pays, l'Arbresle : l'APHRA. Et j'en ai été mille fois récompensé par la chaleureuse ambiance qui y règne dans une grande fraternité !
Voici la présentation de l'Association par sa Présidente :
Le mot de la présidence
Nous sommes tous différents.
Blond, châtain…grand, petit, tous différents.
Mais lorsqu’un enfant arrive en situation de handicap, cela est une différence, un choc terrible lors de l’annonce pour les parents, la fratrie, la famille, les amis. Parfois le handicap est diagnostiqué au bout de quelques années.
Nous sommes dans un monde où nous voulons tout contrôler, tout prévoir : il fera du sport avec son père, nous partirons en vacances, nous ferons du ski … il fera des études …
Il en est de même lorsque nous avons toute notre autonomie et que brusquement, lors d’un accident de la route, de la vie, une maladie rendent dépendant.
Et tout bascule chaque membre de la famille reçoit cette nouvelle différemment et la vie de tous est bouleversée. L’abattement, la colère, la tristesse, la détresse, parfois le déni….
Puis c’est une démarche administrative très lourde pour la reconnaissance du handicap et ses conséquences, très longue aussi, pour obtenir une place dans un foyer, ou autre établissement, la séparation difficile à vivre, accompagnement vie scolaire., autre aide ;
Dans le département du Rhône les dossiers administratifs sont faits et suivis dans les maisons du département situées dans chaque canton ce qui permet d’être dans la proximité. Notre association peut servir parfois de relais pour toutes ces procédures.
Toutes les personnes, parents d’enfants en situation de handicap qui se sont retrouvés et ont créé l’association APHRA ont eu la volonté de se retrouver, de communiquer, de s’entraider et de rompre leur isolement.
Aujourd’hui 30 ans après, beaucoup de choses ont été faites. Le droit des personnes handicapées se traduit par un ensemble de droits (loi du 11 février 2005) pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté a modifié le cadre juridique et l’approche du handicap et ses conséquences. (Organisation, structures en place, création d’un droit à compensation). Il reste encore beaucoup de choses à faire par exemple l’accessibilité, les personnes handicapées vieillissantes…..
Mais si la loi peut aider financièrement les familles, les personnes souffrant d’un handicap, elle ne peut pas remplacer le soutien moral, les inquiétudes, la peur du devenir d’eux-mêmes, et de leur enfant et aussi le regard des autres.
La création du site internet de notre association va permettre d’apporter aux personnes porteuses de handicap de s’informer, de s’entraider, de participer à nos activités,
Le rôle de présidente n’est pas de tout faire, je suis entourée de vice-présidents, de membres du bureau et du conseil d’administration que je remercie pour leur implication et leur soutien.
« ENSEMBLE MIEUX VIVRE LE HANDICAP »
L’espérance de rendre possible des petites ou grandes choses, s’entraider, s’informer, participer, ne pas être isolé
Accueil APHRA - Aphra (lien du site)
(les commentaires de la précédente édition n'ont pas pu être tous repris suite à un problème technique de support)
et quelques photos...