Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Sur les Chemins de la Tradition
Sur les Chemins de la Tradition
Visiteurs
Depuis la création 209 309
Qui suis- je ?

Je fus femme de ménage dans les pyramides, devenu rat de bibliothèques...passionné de recherches dans la Connaissance, de rencontres (certaines épicuriennes et mystiques) , partages, échanges. L'âge venant je me suis mis quelque peu en isolation avec pour devise principale des orteils aux oreilles...et dans un passé récent devenu un être rayonnant...Tous ces mots ont souvent des valeurs cachées...comprenne qui pourra...Cherchant devenu Passeur...

Newsletter
62 abonnés
comment suivre l'actualité du blog ? et les commentaires ?

 


D'abord, dans qui suis-je ? , je me présente...un peu.

Vous pouvez vous abonner à l'option Newsletter (je ne rédige pas de lettres mais cette option permet de recevoir un avis des parutions sur le blog)  les options RSS semblant être en panne

L'outil de recherche en colonne de droite (au-dessus des derniers commentaires) est très pratique : en plus des tags il permet de faire une recherche sur n'importe quel sujet. En cliquant sur l'un des tags ou d'une catégorie  vous obtiendrez la liste complète des articles sur ce sujet.

L'écriture et la lecture des commentaires se fait au bas de chaque article. Pour mémoire : les commentaires sont modérés avant publication,tout commentaire spam est immédiatement signalé au support hébergeant et détruit.
Vous pouvez également utiliser le formulaire sécurisé (contactez l'auteur

Ces explications seront complétées au fur et à mesure des migrations vers la nouvelle formule...

Et pour TOUT avoir sous les yeux : http://www.verlatradition.fr/summary

 

 

7 novembre 2017

Le soleil et le vent

Dans les années 90, j'ai écrit le texte d'un spectacle poétique, mélange de fiction et de réalité personnelles, je vous en ai présenté le début dans : http://www.verlatradition.fr/archives/2017/03/17/35059572.html

Aujourd'hui, en voici le final : 

 

Transformé par cette alchimie des ténèbres à la lumière grâce à une prise de conscience de tout ce qui l’entoure, l’Homme apprend un peu plus qui il est. Bien sûr, il ne sait toujours pas d’où il vient et où il va, mais les germes qui sont en lui commencent à pousser et à produire leurs effets bénéfiques. Par l’oubli de son moi il peut revivre les mêmes amours mais, cette fois dans le partage total avec les autres, avec l’autre, dans une pleine communion qui peut aller jusqu’à la transcendance.

D’abord, je t’aurai prise par la main, ou alors par l’épaule. Tu aurais semblée réticente, car tu n’aurais su que faire. Je me serai approché de toi, j’aurai posé ma tête sur cette épaule, tu te serais mise à trembler, moi aussi peut-être. A moins que ce ne soit toi qui aies fait le premier geste. D’une tendre caresse de la main sur tes cheveux, j’aurai rapproché ta tête contre la mienne. Et nous serions restés comme cela, longtemps, sans bouger. En même temps, je crois, on se serait aperçu que l’autre pleurait. Je t’aurai dit, à moins que ce ne soit toi, “ je te demande pardon “. Tu m’aurais répondu, à moins que ce ne soit moi “ moi aussi “. Toujours tendrement, lentement, j’aurai continuer à caresser ton visage, très délicatement, comme on effleure les pétales d’une rose, dessinant les contours d’un trait de plume, j’aurai essuyé tes larmes. A ce moment, tes mains se seraient rejointes dans mon cou. Et alors, mes lèvres, près des tiennes, auraient murmuré “ je t’aime Tu aurais murmuré “ je t’aime “.Et nous nous serions embrassés , passionnément, à la folie et nos corps se seraient reconnus et retrouvés, communiant dans la même explosion atomique.  

Pour chacun d’entre nous, l’Amour a un prénom,

Que ce soit une fille, que ce soit un garçon,

On a toujours quelqu’un dans quelque coin du cœur.

Chacun pour ce prénom désire le bonheur.

Rester un moment dans les bras de l’être aimé,

Et de ces courts instants faire une éternité.

Des larmes de tendresse couleraient sur nos joues

De nos corps enlacés on formerait un tout.

Et puis...

Cueillir sa bouche en fleur épanouie

Pour en caresser les pétales,

Prendre avec douceur la rosée de ses lèvres

Pour savourer son goût de framboise fragile,

Sentir son corps vibrant

Au parfum de pervenche

Effleurer sa peau tendre

De fruit plein de soleil.

Et puis...

Faire un feu d’artifice

De mots et de tendresse,

Aimer en rose, en vert, en bleu,

Aimer de toutes les couleurs,

Aimer à en être arc-en-ciel,

Eclater son amour en un million d’étoiles,

Etre riche de milliers de secondes-bonheur

Illuminés par tant et tant d’années-lumière

Que l’on devient soleil

Qui brûle en un éclair

Et puis... 

Vous ne comprenez pas ce qu’est un amour fou

Vous ne savez même plus ce que veux dire

Je t’aime.

Quand la vie et la mort n’existent même plus.

Quand l’Amour brûle tout

Ce que l’on a été.

Quand l’Amour détruit

Et donne l’éternité.

Quand on n’existe plus,

Etant devenu l’autre,

Et que l’on forme un tout

Soleil de l’Univers qui ne s’éteindra pas.

Quand on retrouve enfin la pureté du cristal,

Et inondant d’Amour,

Eclatant de bonheur,

Alors tout est possible.

Et puis...

Lorsque enfin réunis...

 

Mais il se fait trop tard...

Je vous dis bonne nuit...

29 octobre 2017

Prière

Cette prière semble avoir été écrite par un grand croyant...et pourtant...

 

Ô mon Dieu, vous m'avez blessé d'amour

Et la blessure est encore vibrante,

Ô mon Dieu, vous m'avez blessé d'amour.

Ô mon Dieu, votre crainte m'a frappé

Et la brûlure est encor là qui tonne,

Ô mon Dieu, votre crainte m'a frappé.

Ô mon Dieu, j'ai connu que tout est vil

Et votre gloire en moi s'est installée,

Ô mon Dieu, j'ai connu que tout est vil.

Noyez mon âme aux flots de votre Vin,

Fondez ma vie au Pain de votre table,

Noyez mon âme aux flots de votre Vin.

Voici mon sang que je n'ai pas versé,

Voici ma chair indigne de souffrance,

Voici mon sang que je n'ai pas versé.

Voici mon front qui n'a pu que rougir,

Pour l'escabeau de vos pieds adorables,

Voici mon front qui n'a pu que rougir.

Voici mes mains qui n'ont pas travaillé,

Pour les charbons ardents et l'encens rare,

Voici mes mains qui n'ont pas travaillé.

Voici mon coeur qui n'a battu qu'en vain,

Pour palpiter aux ronces du Calvaire,

Voici mon coeur qui n'a battu qu'en vain.

Voici mes pieds, frivoles voyageurs,

Pour accourir au cri de votre grâce,

Voici mes pieds, frivoles voyageurs.

Voici ma voix, bruit maussade et menteur,

Pour les reproches de la Pénitence,

Voici ma voix, bruit maussade et menteur.

Voici mes yeux, luminaires d'erreur,

Pour être éteints aux pleurs de la prière,

Voici mes yeux, luminaires d'erreur.

Hélas ! Vous, Dieu d'offrande et de pardon,

Quel est le puits de mon ingratitude,

Hélas ! Vous, Dieu d'offrande et de pardon,

Dieu de terreur et Dieu de sainteté,

Hélas ! ce noir abîme de mon crime,

Dieu de terreur et Dieu de sainteté,

Vous, Dieu de paix, de joie et de bonheur,

Toutes mes peurs, toutes mes ignorances,

Vous, Dieu de paix, de joie et de bonheur,

Vous connaissez tout cela, tout cela,

Et que je suis plus pauvre que personne,

Vous connaissez tout cela, tout cela,

Mais ce que j'ai, mon Dieu, je vous le donne.

 

Car, en vérité, et cela est surprenant, l'auteur de cette magnifique prière s'appelle ...Paul Verlaine dans son recueil Sagesse !

30 août 2017

Moral Code in English language (for USA and elsewhere...)

Love what is good, Ignore that which is evil.

Be goodness, justice and compassion, Never criticise.

Be patient, calm and considerate, Never give way to anger or pride.

Be pure, compassionate and gentle, Never resort to sarcasm.

Be condifent, content and open-hearted towards others, Do not doubt and never be envious.

Be moderate in all things, Avoid all excess.

Be humble, kind, modest, generous and respectful to others, Never be malicious.

Be honest in word and deed, speak the truth, Never lie and never slander.

Be helpful and considerate in all things, Never deceive nor betray anyone.

Love and protect life, spread peace and harmony, Under no circumstances be aggressive.

coeurquibat

11 juin 2017

Sensualité d'un mot

J'espère trouver le mot exact pour décrire l'impression ressentie.

L'avance, l'approche, la mouvance, nuageuse

Onde, vague, qui suinte, la goutte, la courbe

Le tracé, l'empreinte, le coup de pinceau

Gris, blanc, la brume enfouie

Du bleu, épanoui et vertical, paradis

L'étirement, défilement, balayage

Coup de peigne, coup de chapeau

Aimantation attirance, le lien, la retenue

La zone, espace, passage, épaisseur et surface

Profondeur, tiraillement, apaisement...

Le creux

Recueillement. Fontaine, coupe, accueil

Attente, prémonition, divination

Un tout. Fréquence pâle

Pente claire et sombre , mouvement

Ascendance, descente, tournoiement ascensionnel

Élan égal et élégant, oblique

Oubli, aspiration,finesse, raffermissement

Frémissement, fissure...conduit...aboutissement :

La VIBRATION !

voilà le mot que je cherchais

 

ce texte a été écrit en 1992 et dit le 10 juin 2017 par Jacqueline Lieber, Membre du Salon des Poètes de Lyon

Pourquoi l'ai-je présenté ici ? Parce vibration est un mot essentiel qui peut concerner bon nombre des articles de ce blog...Et la phrase Attente, prémonition, divination rappelle une sorte de devise qu'un Grand Passeur de la Tradition avait plaisir à répéter :

Patience, Lumière, Illumination

 

17 mars 2017

Un voyage en Provence de Fontvieille à la plage de Faraman...

Te souviens-tu de cette nuit que nous avons passée au cœur de la Provence, au pied du Moulin de Daudet ?
Les flots du Mistral déchainé soufflaient par rafales ; le ciel noir, percé d’étoiles brillantes comme des diamants, nous entourait en un globe infini, les oliviers, les cyprès et les pins ployaient et gémissaient sous la torture du vent.
Cette nuit-là, nous étions heureux, nous étions seuls au monde,  nus comme des nouveau-nés au milieu de cette nature qui nous cernait en frémissant. Nous aimions cette nature, faisant corps avec elle, nous nous aimions...


Quand vint le jour, tu me demandas d’aller voir le lever du soleil, au bord de la mer.
Ce fut une course contre la montre : lorsque nous arrivâmes sur la plage, l’énorme boule de feu émergeait déjà à l’horizon, naissant de la mer. Tout était beau, les vagues scintillantes prenaient leur course au loin pour venir avec force mourir à nos pieds, baignant l’immense tapis de  sable clair, nous étions seuls au monde, auréolés par l’éclat du soleil et bousculés par le vent.


Je t’ai dit alors : “tu vois, ici, c’est cela, le soleil et le vent”. Tu m’as répondu : “quel beau titre de livre !”.
J’ai écrit ton prénom sur le sable, mais, bien vite, il a disparu, gommé par les vagues, emporté par les flots, je n’ai pas compris alors que c’était un symbole car nous n’existions pas face à cette éternité.
Le soleil et le vent, un jour, peut-être, j’écrirai ce livre, j’ai tant de choses à dire...


Ecartelé par les désirs d’Amours chimériques,
L’Homme suit son chemin telle une feuille sur l’eau.
Pour lui, c’est une voluptueuse errance
Où il s’égare confortablement.
Mais il traîne sa désespérance
Dans un non-bonheur permanent,
Attendant toujours l’éclatement
Des cellules d’un Amour déraisonné.
Universellement seul,
Dans l’obscurité de sa conscience,
Il recherche à être Dieu.
Même si quelques parcelles de lumière
Viennent à l’illuminer quelquefois,
Son errance continue dans sa quête vers la source,
Dans son chemin vers l’absolu.
Et quand il rouvre le placard de ses habitudes
Et se regarde dans la glace,
Il a peur : car l’Homme est nu.


Elle était nue, allongée sur le sable chaud,
Son corps sur la plage était resplendissant,
A ses pieds les vagues se brisaient en rouleaux.
Ses courbes féminines caressées par le vent
S’offraient en leur beauté aux rayons du soleil.
Et moi j’étais soleil,
Et moi j’étais le vent.
Et je la réchauffais tout en la caressant.
Elle semblait dormir en un repos profond :
Elle ne dormait pas car elle m’attendait,
Et moi, tout autour d’elle, je murmurais son nom,
Lui donnant la chaleur qu’elle me demandait.
Car j’étais le soleil,
J’étais aussi le vent.
Avec grande passion elle s’offrait à moi en fleur épanouie
Je l’entendais gémir et pleurer de bonheur,
De grands frissons d’amour parcouraient tout son corps
Nous n’étions qu’un seul être en parfaite harmonie,
Et nous étions le jour, et nous étions la nuit,
Et nous étions soleil, Et nous étions le vent.

moulin(image le Figaro)

faraman(image Regards d'Aigues Mortes)

 

carte faramancarte Google Map

 G.-A. D. alias Népomucène Landarosa...

26 janvier 2017

La Charité (première Epitre de Paul aux Corinthiens)

saint paul

J’aurais beau parler toutes les langues des hommes et des anges, si je n’ai pas la charité, s’il me manque l’amour, je ne suis qu’un cuivre qui résonne, une cymbale retentissante.

J’aurais beau être prophète, avoir toute la science des mystères et toute la connaissance de Dieu, j’aurais beau avoir toute la foi jusqu’à transporter les montagnes, s’il me manque l’amour, je ne suis rien.

J’aurais beau distribuer toute ma fortune aux affamés, j’aurais beau me faire brûler vif, s’il me manque l’amour, cela ne me sert à rien.

L’amour prend patience, l’amour rend service, l’amour ne jalouse pas, il ne se vante pas, ne se gonfle pas d’orgueil, il ne fait rien d’inconvenant, il ne cherche pas son intérêt, il ne s’emporte pas, il n’entretient pas de rancune, il ne se réjouit pas de ce qui est injuste, mais il trouve sa joie dans ce qui est vrai, il supporte tout, il fait confiance en tout, il espère tout, il endure tout.

 L’amour ne passera jamais. Les prophéties seront dépassées, le don des langues cessera, la connaissance actuelle sera dépassée. En effet, notre connaissance est partielle, nos prophéties sont partielles. Quand viendra l’achèvement, ce qui est partiel sera dépassé.

Quand j’étais petit enfant, je parlais comme un enfant, je pensais comme un enfant, je raisonnais comme un enfant. Maintenant que je suis un homme, j’ai dépassé ce qui était propre à l’enfant.

Nous voyons actuellement de manière confuse, comme dans un miroir, ce jour-là, nous verrons face à face. Actuellement, ma connaissance est partielle, ce jour-là, je connaîtrai parfaitement, comme j’ai été connu.

Ce qui demeure aujourd’hui, c’est la foi, l’espérance et la charité ; mais la plus grande des trois, c’est la charité.

Lire cette lettre ne suffit pas,

L'apprécier ne suffit pas,

La proclamer ne suffit pas,

Il faut la vivre et l'appliquer...

17 septembre 2016

J'avais, il y a longtemps, reçu une lettre de Jean Cocteau (réédition)

J'ai une grande nouvelle triste à t'annoncer : je suis mort.
Je peux te parler ce matin, parce que tu somnoles, que tu es malade, que tu as la fièvre.
Chez nous, la vitesse est beaucoup plus importante que chez vous. Je te rencontre parce que je n'ai pas toute ma vitesse et que la fièvre te donne une vitesse immobile, rare chez les vivants.
Les vivants et les morts, sont près et loin les uns des autres comme le côté pile et le côté face d'un sou, les quatre images d'un jeu de cubes. La vie et la mort s'affrontent.
Le miracle est de vivre double en face de cette grande énigme et n'être qu'un. C'est notre secret. Je cède la place. Abandonne-toi. La vie est morte, vive la vie. Le poète est mort, vive le poète. Adieu. Je commence à me dissoudre. Nos traits se tissent ensemble. La ressemblance est outre. Elle émane de l'esprit. La réalité commence.
(avec la complicité des Jeans : Cocteau et Marais)
et j'avais répondu à cette lettre :
A quoi ça sert  la vie
Quand on ne peut plus vivre ?
A quoi ça sert de vivre
Quand on ne peut plus rire ?
Quand le soleil s’éteint
On ne peut exister.
J’ai peur de mourir
A force de pleurer.
Je suis écorché vif
Et je voudrai crier
Je voudrai crier à tous :
Je vous aime.
Vous ne comprenez  pas
Cachés derrière vos mots,
Derrière vos phrases vides
Qui ne sont que remparts,
Derrière tous vos principes
Et vos philosophies,
Vous ne comprenez rien
Et ne pensez qu’à vous.
Mais vous n’existez pas
Lorsque vous êtes seuls,
Et je n’existe pas.
il y a ...32 ans !...et je suis toujours vivant
3 mai 2016

En passant

chut je rêve

1 janvier 2016

Des voeux ?

Depuis plusieurs années je passais des messages à l'occasion du Nouvel An, messages à teneur de sagesse et de philosophie.

Par respect pour cette année terrible, j'y renonce, car les mots sont superflus ; et je laisse la parole à un Sage que j'ai connu.

 

"Ton sanctuaire terrestre, aussi bien que les églises, les temples, les mosquées et les synagogues, a, pour toi et les autres, une forme matérielle déterminée, mais cette forme n’est qu’apparente. Essentiellement, elle est l’interprétation, par le mental informé par les perceptions des sens physiques, d’une masse vibratoire dont les composants se meuvent à diverses fréquences.

Il en est de même, d’ailleurs, de la création physique tout entière et il en est ainsi, également, de ton corps. La matière est soumise aux lois cosmiques et celles-ci accomplissent une mission constante et impersonnelle de création.

 

Raymond Bernard

RB

 

texte repris du site les Baladins de la Tradition http://www.bldt.net/Om/spip.php?article967

Publié par le site des Baladins de la Tradition, lien pour lire l'article complet 

En effet les Baladins de la Tradition m'ont demandé de ne pas publier la totalité de leurs articles, j'obéis donc à leurs désidératas pour ne pas leur porter préjudice.

Gérard-Antoine Demon

26 octobre 2015

Un code moral

 

(réédition de 2012)

Dans le monde où nous vivons, il est bon parfois de proposer une sorte de code de bonne conduite, d'art de vivre avec les autres, de partages avec ces autres ; bien entendu il n'est pas facile de suivre ce qui est proposé, car rien d'humain ne nous est très étranger, et nous ne sommes pas saints. Et cependant, il y a un danger : celui de se servir de tels préceptes pour se protéger des autres, pour protéger ses propres actes, comme un bouclier, alors que ce devrait être un instrument de paix et d'amour. Enfin, dans ce monde où chacun a ses idées personnelles (ainsi, pour exemple, il y a autant de sélectionneurs de l'équipe de France de Football qu'il y a d'afficionados), certains diront qu'ils ne sont pas d'accord parce que ou parce que ; libre à eux, rien n'est imposé.

(vidéo figurant sur internet)

 

<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 > >>
Prendre le temps


de face 1

Prise de chez moi la maison d'un voisin, un certain Nizier-Anthèlme Philippe appelé Maître Philippe de Lyon...auquel je dis bonjour tous les matins en ouvrant mes volets...
 
Avatar Fête du Jour - fetedujour.fr

La fête du jour sur votre site avec fetedujour.fr

Sur les Chemins de la Tradition
  • J'aurai pu classer ce blog en Religions ou Esotérisme mais ils ne me conviennent pas, alors je l'ai posé en inclassable. Car mon propos est de parler de la Tradition, voie de Sagesse, c'est-à-dire des recherches et des réflexions sur toutes les croyances.
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Derniers commentaires
Mes albums photos

Voici quelques un de mes voyages (toutes des photos personnelles, sauf une ! le portrait de Frère Roger). Voici donc les liens pour la totalité de mes albums...