Réflexions sur le Notre Père
Il est bien connu que le Notre Père de tradition chrétienne est repris de prières plus anciennes de l’époque pré-rabbinique, c’est à dire d’avant l’occupation romaine de la Judée. Il s’agit du Qadish ou « sanctification du Nom », et des Shemonei ‘Esrei ou « dix-huit bénédictions ».
Le Notre Père est une compilation des deux prières, on a pu également en retrouver des traces dans l’hymne égyptien à Aton le dieu solaire. Dans l’évangile de Matthieu, il apparait une petite différence : on dit que ton Nom soit sanctifié alors que dans l’antique prière hébraïque il est dit que son grand Nom soit magnifié et sanctifié.
La puissance de la Prière est considérable, encore faut-il qu’elle ne soit pas récitée automatiquement, comme une machine. Elle doit se vivre pleinement. La plupart des personnes confondent la prière et l'invocation : la prière est personnelle à chacun, elle vient du Coeur, tandis que l'invocation est une formule dictée par une Religion.
Des études spécifiques et très précises ont permis de mettre en valeur les énergies que le Notre père, par exemple, canalise. Il s’agit d’une véritable descente de la Lumière sur celui qui le prononce avec conscience, avec une progression de l’énergie descendant sur la tête (les orientalistes parleraient de chakras) et cela est dit ! Notre Père qui es aux cieux, il n’y a pas besoin de chercher ! Et cela jusqu’à la descente du délivre-nous du mal matérialisé par la région sexuelle. Au fur et à mesure de la progression des paroles, la descente de la Lumière se fait et procède ainsi à une transformation du corps en un corps de Lumière. Et l’on constate en fin le Règne, la Puissance et la Gloire du Père qui est en nous.
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