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Sur les Chemins de la Tradition

Sur les Chemins de la Tradition
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Qui suis- je ?

Je fus femme de ménage dans les pyramides, devenu rat de bibliothèques...passionné de recherches dans la Connaissance, de rencontres (certaines épicuriennes et mystiques) , partages, échanges. L'âge venant je me suis mis quelque peu en isolation avec pour devise principale des orteils aux oreilles...et dans un passé récent devenu un être rayonnant...Tous ces mots ont souvent des valeurs cachées...comprenne qui pourra...Cherchant devenu Passeur...

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D'abord, dans qui suis-je ? , je me présente...un peu.

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Et pour TOUT avoir sous les yeux : http://www.verlatradition.fr/summary

 

 

15 août 2022

Rencontre à Paray-le-Monial (réédition avec photographies)

J'avais annoncé deux rencontres faites en compagnie du jeune Cédric : voici donc la seconde.

La seconde rencontre eut lieu non loin de Taizé à Paray-le-Monial, lors d’un dimanche de préparation des J.M.J. Pour mémoire je vous rappelle que de telles rencontres ont d'abord été créées par la Communauté de Taizé, rassemblant ainsi des dizaines de milliers de personnes venues du monde entier (je possède d'ailleurs un enregistrement des chants à l'occasion de celle de 1974, je crois, à Lausanne) ; ce qui a vraisemblablement donné l'idée à Rome et au Pape Jean-Paul II, un très grand ami de Taizé, d'en faire autant.

Nous avons participé à une Messe dans la petite Chapelle des Apparitions, il y avait foule et nous nous sommes retrouvés juste le dos contre le portail d’entrée, j’ai alors servi de gardien puisque à chaque instant des personnes essayaient d’entrer et je leur expliquais que la Chapelle était pleine.

Au moment de la Prière Eucharistique, la porte s’ouvre et je vois apparaître un être complètement difforme, déjà âgé, portant un attirail de s.d.f. , et là je vais même, sans savoir pourquoi, jusqu’à l’accompagner d’une main sur l’épaule. Il entre dans la Chapelle, on dirait qu’il ne voit pas la foule qui semble très décontenancée (ce mot n’est pas assez fort) ainsi que l’Officiant, il traverse la totalité de l’allée centrale puis le choeur et va s’agenouiller et prier devant la Châsse de la Sainte.

Puis il repart, comme il est venu, ne s'occupant de personne. Dans tout Paray-le Monial en raison des rencontres charismatiques il y avait des oriflammes, des bannières, des panneaux avec l'inscription : IL EST VIVANT ! J’ai eu alors envie de clamer comme pour une Homélie : “Mais vous n’avez pas compris mes Frères, ouvrez les yeux, en vérité Il est vivant et Il est là, parmi nous”.

Plus tard, en quittant Paray, nous l’avons revu, prenant, plié en deux sous le poids de son fardeau, la direction d’une autre Chapelle...

Cette rencontre eut une suite tellement incroyable que je préfère la garder pour moi. (dans la Cathédrale St Jean le Baptiste de Lyon)

Et je complète cet article par des photos que j'ai réalisées : (en cliquant sur chaque photo vous la verrez agrandie)

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078le lieu de ma rencontre (ci-contre et ci-dessous)

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Gérard-Antoine Demon/15 aout 2022 

11 août 2022

Les citations célèbres ...avec la solution

 

Lao-Tzeu l' a dit : il faut trouver la Voie !... Moi je l'ai trouvée !...C'est très simple : je vais vous couper la tête !...Alors vous aussi vous connaitrez la Vérité !...

Didi, veux-tu cesser...

et quelle en est l'origine ?

extrait du Lotus bleu : le fils de  l'Honorable Wang Jen-Ghié auquel on a inoculé le poison qui rend fou.

la voie

 

4 août 2022

Canicule (en 2003)

joconda

 


L’ETE FUT CHAUD
10/2003

Cet été, quand j’errais dans les rues de Paris,
Je fus comme les autres bientôt comme un rôti.
Dans les couloirs du Louvre je me réfugiai
Pour pouvoir profiter de l’air climatisé.
Le hasard me guida devant Dame Joconde
Qui, comme d’habitude, attirait un grand monde.

Le peuple émerveillé la regardait, béat,
Moi, je l’imaginais me montrant ses appas
Soudain, en un éclair, la foule disparut :
Un étrange frisson alors me parcourut.
Je me retrouvai seul devant cette beauté
Et ressentis alors le temps comme arrêté.

Je crus à cet instant l’entendre soupirer,
Aussi près du tableau doucement j’approchai,
Elle murmura alors : oh, mon Léonardo !
Je me dis : elle se trompe, me prend pour Caprio,
Elle confond le Louvre avec le Titanic,
Évacuons en douce et surtout sans panique !

Elle me fait un clin d’œil et son plus beau sourire,
Regarde à droite, à gauche, et descend du tableau,
Puis me prend par le bras : viens mon Léonardo.
Et nous voilà partis, bras-dessus, bras-dessous,
En franchissant les portes, elle me fait des bisous
Et les gardiens émus nous regardent sortir.

Après un hamburger avalé chez Mac Do
Nous prenons une chambre à l’Hôtel du Lido.
Pendant de longues heures alors Mona m’usa,
C’est ainsi que j’appris à faire des entrechats.
Nous partîmes en balade dans la France profonde,
Au hasard des chemins d’une humeur vagabonde.

Pendant des jours entiers elle m’expliqua sa vie
Et comment elle devint l’égérie de Vinci
Rencontré débauché une nuit sur le Po
Alors qu’il lutinait de jeunes matelots.
Certains même firent croire qu’elle n’était pas femme
Et qu’elle était Monsieur et aussi croque-madame

Il l’embaucha aussi à être son Saint Jean
Mais faire ce tableau lui dura très longtemps :
Quand il disait : souris, elle grimpait sur la table.
Quand il éternuait, elle était charitable :
Elle dégrafait sa robe en disant : à vos souhaits
Et se retrouvant nue, elle le dévergondait.

Des avis de recherches recouvraient tous les murs
Pour retrouver la belle partie dans la nature.
On soupçonna les profs et les intermittents,
On alla au Larzac voir les manifestants,
Des vieillards dans leurs lits furent interrogés,
On surveilla les Corses et tous les immigrés.

Après une dernière nuit d’étreintes amoureuses,
Mona rentra au Louvre toujours aussi radieuse.
Avec tous les ministres on fit un vin d’honneur,
Et la France du bas retrouva le Bonheur.
Elle fut interviewée à la télévision
Qui lui organisa un jour de Monathon.

Et si pour vous ce soir je fais le mirliton,
C’est bien parce que depuis j’ai perdu la raison,
Et que je fais des vers qui n’ont ni queue ni tête,
Ayant perdu l’amour de cette femme parfaite.
Et dans les rues de Lyon je déclame ces vers
En espérant draguer la Dame de Fourvière.

Gérard-Antoine Demon

 

4 août 2022

Une jolie petite fille...

une jolie petite fille

31 juillet 2022

Duo de charme

Un Espagnol un jour,

Un Italien rencontra :

Ce fut le grand Amour 

Entre Don Juan et Casanova.

29 juillet 2022

Ah qu'il est bon, qu'il est doux ...(psaume 133) réédition avec compléments ...parce ce qu'elle le vaut bien...

le Psaume 133 dit Cantique des degrés (Ancien Testament/David)

Voici, oh! qu'il est agréable, qu'il est doux Pour des frères de demeurer ensemble !

C'est comme l'huile précieuse qui, répandue sur la tête, Descend sur la barbe, sur la barbe d'Aaron, Qui descend sur le bord de ses vêtements.

C'est comme la rosée de l'Hermon, Qui descend sur les montagnes de Sion; Car c'est là que l'Eternel envoie la bénédiction, La vie, pour l'éternité.

hermon mont

le mont Hermon


 

Des différences notables sont connues quant aux traductions des Psaumes, ainsi pour ce psaume côté 133 on connait essentiellement quatre traductions importantes différentes....

texte latin du psaume 133 (132 en tradition grecque)
Ecce quam bonum et quam iucundum habitare fratres in unum
Sicut unguentum in capite quod descendit in barbam barbam Aaron quod descendit in ora vestimenti eius
Sicut ros Hermon qui descendit in montes Sion quoniam illic mandavit Dominus benedictionem et vitam usque in saeculum

la traduction la plus connue (Louis Segond 1910)
Voici, oh! qu'il est agréable, qu'il est doux Pour des frères de demeurer ensemble!
C'est comme l'huile précieuse qui, répandue sur la tête, Descend sur la barbe, sur la barbe d'Aaron, Qui descend sur le bord de ses vêtements.
C'est comme la rosée de l'Hermon, Qui descend sur les montagnes de Sion; Car c'est là que l'Eternel envoie la bénédiction, La vie, pour l'éternité.


 

Quant à moi, partant de la version latine (sans jeu de mots), concernant le passage "habitare fratres in unum" et sachant la grande richesse des possibilités de la langue dans leur expression, j'aurai tendance à traduire, bêtement, en mot à mot, par " pour des frères de demeurer dans l'Unique' ou "de rester ensemble dans l'Un".

Et, selon certaines sources, ce cantique a été utilisé par les Membres de l'Ordre du Temple pendant leurs célébrations...et utilisé encore de nos jours par plusieurs Fraternités de la Tradition.

sceau templier



Mais tel n'est pas ici mon propos, ce que je voudrai exprimer c'est qu'il y a un moment où il ne faut plus rester protégé par la douce chaleur du groupe qui nous protège : il faut, comme il a été dit, revêtir son manteau du monde et aller dans ce monde pour y agir, pour y témoigner.

 Prenons l'exemple des Frères de la Communauté de Taizé. Taizé, je connais plus qu'un peu, il fut un temps où j'aurais pu y avoir une carte d'abonnement, au milieu de milliers et de milliers de personnes toujours renouvelées (une célébration du dimanche à Taizé = environ 6000 personnes en moyenne AVANT le pangolinvirus) ; combien j'y ai emmené de personnes, je ne sais plus...un certain nombre...(même un car entier venu de Paris).

Il existe une sorte d'euphorie taizéienne (oh le vilain mot) car, là-haut au sommet de cette colline inspirée, la joie, la prière, l'amour, la paix sont en partage : comme on y est bien , que cela est doux, que cela est agréable. Et bien justement, les Frères ont toujours attiré l'attention sur ce qui peut devenir un problème, voire une drogue et de nos jours une addiction.

Il faut savoir, et il le disent, quitter Taizé pour retourner au monde, dans le monde, et agir alors pour témoigner de cette paix, de cet amour ; Taizé n'est pas une illusion mais, comme le leur a dit un grand ami de la Communauté, le Pape jean-Paul II, Taizé est une source. On peut s'y raffraichir, on peut s'y abreuver, mais ensuite repartir au travail pour servir le monde. Aider et aimer sans rien attendre en retour...

Et quand on a réussi cela, on est dans l'Unique, dans le Grand Tout et alors seulement on peut s'attendre un jour ou l'autre à en recevoir récompense, mais sans jamais le demander...

La Fraternité peut aussi se vivre, sans onction spécifique, au sein du milieu associatif. Il est ainsi des Associations où une personne est chargée de prendre soin des autres, de prendre de leurs nouvelles, quand ce n'est pas le but général de l'Association. Mais dans beaucoup de cas, cela est oublié, on y vient comme on va au cinéma ou manger un gateau en oubliant le but de vivre et de partager ensemble.

coeurquibat

 

27 juillet 2022

Maître Philippe de Lyon et le Clos Landar à l'Arbresle

Mes amis de l'Association Maître Philippe ont réalisé par l'un de leurs adhérents un montage vidéo fort intéressant que vous pouvez consulter sur leur site : Clos_Landar_2016.mp4 (dropbox.com)

 Nombreux de mes correspondants regrettent souvent de ne pas pouvoir avoir visiter le domaine du fait de leur éloignement, vous pouvez également visionner de nombreuses photos, complémentaires à celles que j'ai publiées, en un diaporama toujours sur leur site : 

Association Maître Philippe (maitrephilippe.asso.fr)

cliquez sur les liens

 

 

 

26 juillet 2022

des millions de spectateurs l'ont vu !

 

 

23 juillet 2022

Critiquer ou constater ? les délires du MOI

de 2 anciens articles j'en ai faut 1 !!!


 

Il fut un temps, dans mes anciennes années, où j'avais facilement la critique analytique (de métier), sévère et même sanglante... Bien des années ont passé, je me suis rendu compte que de tels procédés étaient négatifs et ne rendaient pas de service à la personne concernée car ne laissait pas de place à l'explication et même pouvait l'abattre !

De plus je me suis engagé sur une voie qui préconise tout le contraire...mais que je ne peux pas suivre toujours car je ne suis pas un saint. Et depuis quelques années, j'essaie de modérer mes critiques éventuelles, de mettre en exergue mes constatations, je laisse toujours à l'autre une porte de sortie ; regardez un animal, par exemple un chat, lorsque il est acculé quelque part sa seule solution est d'attaquer à son tour et de griffer ou de mordre.

Parfois l'autre ne saisit pas l'échappatoire ou la possibilité qui lui est offerte et répond par la négativité ou l'agression : cela signifie qu'il n'a rien compris et je dois alors m'adapter à son niveau de conscience (pour mémoire j'étudie la psychologie sociale depuis 1974). Et je ne critique que ce que je connais: j'écrivai un jour que je n'y connais rien en yoga, et bien je n'irai jamais déposer mon grain de sel dans une conversation sur ce sujet. Par contre il est certains sujets où j'ai la prétention d'avoir une certaine connaissance...il m'est arrivé de critiquer ainsi et d'avoir pu rétablir une vérité.

Donc lors d'une critique, toujours proposer une autre solution, une autre hypothèse pour ouvrir le dialogue. Je fréquentais un forum d'un magazine politique, et bien il y existait une intervenante avec laquelle il était impossible de dialoguer : ses interventions tournaient au monologue agressif.

Une autre solution existe, c'est d'intervenir discrètement, hors du public, pour poser des questions ou dire mon désaccord : cela m'est déjà arrivé sur un site et s'est toujours bien conclu, entre gens de bonne compagnie. Toujours sur ce site, il est des critiques que je n'exprimerai pas, par rapport à ce que je connais, car je déclencherai alors de fortes polémiques inutiles face à des certitudes qui rassurent leurs auteurs.

Moi aussi je peux être critiquable mais alors il faut en accepter le contredit éventuel. Pour critiquer à bon escient il est nécessaire de connaître un peu l'autre, ses habitudes, ses propres connaissances. Vous savez que je suis un adepte de la devise des Bénédictins ora et labora (prie...ou médite, et travaille dans ton oratoire ou ton laboratoire) et cela depuis bien des années (en 1988) ; mais il faut sans cesse se remettre à l'ouvrage, comme la morale d'une fable de La Fontaine, chaque matin reprendre le travail, se remettre en question. C'est ce que font de nombreux cherchants dans le monde entier mais ils restent discrets et ne font pas de tapage médiatique.

Et on acquiert ainsi par des pratiques une sorte de mécanisme qui se met en route selon les circonstances. j'avoue qu'il m'est parfois difficile dans une conversation de regarder quelqu'un dans les yeux car je sais alors tout ce que l'autre veut cacher de sa personne. De même à la vue d'une photo, à l'écoute d'une voix, devant une situation ou à la lecture d'un texte : car toutes les formes d'expression dévoilent la personnalité de leur auteur. Alors il m'arrive très souvent de faire l'imbécile, de ne rien comprendre (cela est un mécanisme que l'on acquiert après des années de travail sur soi...comme les Bénédictins). Mais rassurez-vous : je ne fais pas partie de ces gourous auto-proclamés qui de nos jours viennent du Canada ou d'autres pays exotiques ou non (quand ce n'est pas d'une autre planète), par suite d'une législation libérale ou inexistante et qui maintenant se répandent en France dans tous les domaines...

Je m'amuse ainsi à faire connaître des textes, des vidéos, importantes (selon moi direz-vous, non selon la Tradition). Il fut un temps où je retirais parfois certaines choses, mais maintenant je ne le fais plus, les choses passent comme les grains de sable qui s'écoulent...

Et beaucoup confondent critique et constatation, alors que ces deux choses sont totalement différentes et n'ont aucun rapport. Ah tu critiques ! Alors que j'annonce des faits constatés...Mais cela les rassure et leur permet de se cacher derrière leurs...critiques et leurs certitudes.

Il apparaît que de plus en plus dans les moyens d'expression, médias et autres, certains font profession de la critique (la lecture des forums d'information en est fort édifiante) : sur tous les sujets ils ont un avis négatif qui leur permet d'exister même sans connaître le sujet en question. Un autre exemple : des médias, pour combler un vide, font appel aux passants de la rue pour critiquer un fait, une personne (que pensez-vous de la disparition des grenouilles hermaphrodites du lac Titicaca?)

 Et donc peut se permettre de ne plus suivre à tout prix la course aux décorations, honneurs,  qui ne sont que des créations humaines, bien souvent au service de l'ego et non du Soi. Et il est là non plus pour se servir mais pour servir.

Beaucoup de personnes n'ont pas encore compris qu'il y a une différence entre le "soi" (l'ego) et le "SOI", ces personne ne pensent que par le corps et la densité... plus c'est lourd, densifié et perceptible, plus c'est viable pour eux, alors que ça ne représente que l'expression du "soi" et toutes les illusions qui vont avec. Le jour où ils comprendront que ce n'est pas le véhicule, mais le cocher du véhicule (le grand SOI) qu'il faut écouter par les messages qu'il délivre au corps, ça sera bon... sauf que ce cocher s'exprime avec des MAUX lourds quand on ne veut pas l'écouter, et non pas des mots... Si nous parvenons à l'écouter, il ne s'exprimera plus avec des maux, ni des mots, mais avec des émotions...Beaucoup de personnes, soutenues par leur ego, ont la certitude d'être au-dessus des autres...Sans se soucier du niveau de conscience où peuvent être ces autres, ce qui leur permet de les juger, alors qu'un niveau de conscience n'est pas inné : il doit se mériter par le travail...comme les Bénédictins (cela me rappelle la fable de La Fontaine sur le Laboureur et ses enfants !). Et il est bien difficile de se juger soi-même par rapport aux autre

Nous sommes dans un monde ou le paraître prime l'être...

(vous pouvez consulter mes articles sur l'ego en cliquant égo -avec un accent - dans le moteur de recherche en colonne de droite)

lionmoi

 

et les commentaires d'origine sont maintenus ! 

18 juillet 2022

L'inquiétude des Français...

cabu

Prendre le temps


de face 1

Prise de chez moi la maison d'un voisin, un certain Nizier-Anthèlme Philippe appelé Maître Philippe de Lyon...auquel je dis bonjour tous les matins en ouvrant mes volets...
 
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