La phrase de Voltaire sur la Liberté, complété par un détail amusant
Cette phrase de Voltaire a beaucoup été réutilisée dans un passé récent : elle a même été rappelée officiellement dans les médias par un Académicien qui apparait immortel.
Je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu'au bout
pour que vous puissiez le dire
Elle est devenue, pour ainsi dire, un symbole de démocratie et de liberté.
Sauf que...François-Marie Arouet n'a jamais ni écrit, ni prononcé cette phrase ! Ce fut l'invention d'une anglaise écrivain Evelyn Béatrice Hall fort talentueuse, qui écrivait aussi sous le pseudonyme de Stephen G.Tallentyre et dont l'oeuvre la plus connue est une Biographie de Voltaire publiée en 1906 (elle a d'ailleurs publié également une biographie de Mirabeau). Elle l'a reconnu officiellement dans une lettre datée de 1939.
Comme quoi, une fois encore, il faut se méfier des légendes, crées, certes, parfois de bonne volonté, nous nous en apercevons très souvent sur ce blog...
AJOUT DU 29 AVRIL
Et hier soir, je fus bien aise d'entendre l'un des chroniqueurs de l'émission de France 4 "je vous demande de vous arrêter", André Manoukian, relater cette anecdote. Toutefois avec un gros bémol (référence musicale...) : dans sa présentation il a dit une bêtise, à savoir que Evelyn Béatrice Hall n'a écrit dans sa vie qu'un seul livre, celui sur Voltaire...Il lui aurait suffi de consulter Wikipédia pour en apprendre le contraire et les différents livres quelle a publiés. http://fr.wikipedia.org/wiki/Evelyn_Beatrice_Hall
L'image du jour
Un étrange dessin publié par Papus dans son Traité élémentaire de Science occulte, représentant des personnages prenant visiblement une collation sur la terrasse d'un domaine à la campagne, et intitulé : le Plan Physique vu du Plan Astral.
Je ne sais pas pourquoi, mais je ne peux m'empêcher de rapprcher cette gravure d'une photographie publiée par Philippe Encausse !
A propos, vous avez reconnu la table ? C'est celle que mme Philippe avait fait fait sceller car chaque fois que Papus passait au Clos, elle se mettait à tourner...
Illumination
De nos jours, on utilise des mots à tort et à travers : une grande vague venue de ce que certains ont appelé le nouvel-âge (new âge pour ceux qui comprennent l'anglais) a ainsi parlé et parle encore de l'Illumination, qui vient d'un Maitre, qui vient d'ailleurs et qui finalement vient de soi...
Pour ma part, ce mot me rappelle toujours un témoignage de vie, celui de Satprem, confident et secrétaire de Mère (le mental des cellules, le monumental agenda de Mère) compagne de Sri Aurobindo et qui eut une grande influence dès le début du XXième siècle sur des gens comme Théon et le Mouvement cosmique si cher à Charles Barlet, Papus et bien d'autres...
Et donc Satprem a témoigné de l'Illumination dans son livre "Par le Corps de la Terre ou le Sannyasin paru à Auroville en 1973 et édité en France en 1974, dans une autre tranche de vie, j'ai souvent médité sur ce texte magnifique et l'ai fait connaître à mon entourage. Et je me fais une grande joie de le présenter ici.
On ne peut lire et appréhender ce texte en une fois, il convient de le relire, de s'en imprégner, tellement il est immense...
L'histoire de la mystérieuse médaille voyageuse
Les recherches et réflexions sur Nizier-Anthèlme Philippe, Papus et leur entourage ont amené à d’autres recherches collatérales ; nous avons ainsi, par exemple, déjà découvert l’érudition du gendre du mage Philippe, Emmanuel Lalande sous le nomen de Marc Haven dans ses travaux sur Cagliostro.Et c’est ainsi que s’est posée une autre question, quant à une histoire de médaille. Et là apparait un curieux mystère tels que nous en avons tant rencontrés sur notre chemin, cela s’appelle donc la médaille voyageuse.
Au moins trois comptes-rendus circulent sur son histoire, qui vont être résumés ci-dessous.
D’abord, elle est présentée par le livre quelque peu volontiers mystérieux, réédité récemment : La guerre des cerveaux, les 7 têtes du dragon vert, dont l’auteur est lui aussi mystérieux, signant sous le nom, de Teddy Legrand. Ce livre, nous dit-on, dévoilerait de grands secrets et se présente comme un véritable roman d’espionnage à la James Bond ; il est préférable de laisser le lecteur s’en faire une opinion personnelle…Néanmoins il présente au cours des pages cette fameuse médaille, extraits :
…une petite médaille de cuivre, dont l’avers portait le profil assez reconnaissable du Christ, entouré des lettres yod et schinn (voir à ce sujet précisions en commentaires) , à ce qu’il me sembla, du moins, et dont le revers se chargeai d’une courte inscription hébraïque…j’avais reconnu, pour ma part, ce fac-similé de la pièce de monnaie antique, familière aux archéologues et que les numismates désignent du nom de Denier de Trajan…je savais que de gros volumes lui avaient été consacrées…
Plus loin figure l’illustration de ce Denier ayant appartenu au général Koutiépoff , chef incontesté des Russes blancs (selon le livre) et surnommée la médaille du campo dei Fiori.
Une seconde présentation de cette médaille est faite par l’Assemblée fraternelle des Chrétiens unitariens (AFCU) qui eut Théodore Monod comme Président d’Honneur et qui selon son propre site se propose de réunir par les échanges, l'amitié et le culte tous les chrétiens qui n'adhèrent pas au dogme de la Trinité, ni aux autres dogmes. Elle se réfère à la Réforme protestante anti-trinitaire du XVI° siècle. Elle s'inscrit dans un christianisme de théologie libérale et adogmatique, ouvert à toutes les autres religions et spiritualités qui contribuent au patrimoine de l'Humanité. http://www.chretiens-unitariens.fr/
Elle présente donc cette médaille comme son symbole, médaille de reconnaissance des membres de l'Eglise des Frères de Pologne et de Lituanie qui a rejeté la Trinité, dite "Ecclésia Minor" (XVI°-XVII° siècles). Il est expliqué qu’elle fut diffusée par un mouvement spiritualiste les Amitiés spirituelles. ET son histoire en est connue Il s’agit de la médaille de reconnaissance des Frères polonais de la Petite Eglise (anti-trinitaire) de Pologne et de Lituanie, qui a été frappée à Nuremberg au début du XVII° siècle. Le portrait de Iéshoua’ correspond à celui de la médaille du sculpteur milanais G. Antonio Rossi, laquelle était une commande du pape Pie V vers 1570. Du fait de leurs croyances, les anti-trinitaires n’ont pas reproduit l’auréole crucifère.
Elle a donc été créée pour la première fois en 1570 puis diffusée au début du XVII ième siècle (suivent les coordonnées et tarifs du bijoutier qui la commercialise actuellement sous différentes formes). Il est ajouté : C’est avec une profonde émotion que les unitariens portent cette médaille historique. Un autre chapitre revient sur son histoire http://www.labesacedesunitariens.com/article-12137764.html Si le lien ne fonctionne pas directement cherchez l’article sur la médaille de reconnaissance des Frères polonais (2ième partie) par Albert Blanchard-Gaillard paru le 2 septembre 2007, avec une grande érudition et preuves à l’appui ; la rapporter ici serait trop long. Extraits :
En mars 1897, à Rome, sur la place du " Campo dei Fiori ", non loin du palais Farnese, siège de l’ambassade de France, se tenait comme tous les mercredis un marché à la ferraille, sorte de gigantesque brocante. Un touriste français, A. J. Boyé, dit Boyer d’Agen, " érudit régionaliste ", y dénicha, au milieu d’autres pièces, une médaille très oxydée et sale qu’il paya " deux sous ".
Nettoyée, elle laissa apparaître un visage – apparemment celui du Christ – et des inscriptions hébraïques. Boyer, séduit, la porte d’abord en breloque, quand des orfèvres parisiens la remarquent et obtiennent le droit de la reproduire. On en vend alors un assez grand nombre d’exemplaires, en or, en argent ou bronze (ce qu’on continue de faire).
Une analyse complète en est présentée d’où il ressort clairement que cette médaille ne peut venir que du XVII ième siècle.
Enfin, une troisième version de la médaille est présentée par les Amitiés spirituelles (déjà évoquées ci-dessus) et qui, selon ses dires, se présente comme L’association des Amitiés Spirituelles groupe les personnes de bonne volonté, quelque soit leur nationalité ou leur religion, qui reconnaissent le Christ comme le seul Maître de la vie intérieure et l'Evangile comme la vraie loi des consciences et des peuples. Avec comme travail : les membres des Amitiés Spirituelles s'attachent à faire passer dans leurs actes les maximes de l'Evangile ; ouvriers, employés, patrons, pères, mères, citoyens, ils essaient d'accomplir ces diverses tâches avec une conscience intègre, chacun dans son cercle d'action.
Sur le site http://www.amities-spirituelles.fr/page7.html puisque par honnêteté il est pris ici comme ligne de conduite de donner toutes les références, il est indiqué (repris également dans des publications et ailleurs) que cette médaille était, pendant les persécutions romaines, un signe de reconnaissance entre disciples et serait donc un portrait authentique datable des environs de 70 de l’anno domini. Je laisse donc le lecteur prendre connaissance de cette certitude. Les références entre les deux versions peuvent apparaitre disproportionnées dans leur longueur, mais ne sont que le reflet des deux études proposées.
L’ensemble des éléments est donc à la disposition du lecteur avec liens suffisamment explicites : je le laisse réfléchir sur ce sujet et en déduire ce qu’il pense non seulement possible mais réel en son âme et conscience.
Et, comme bien souvent, des commentaires fort érudits sont venus compléter cet article, chacun peut les lire ci-dessous.
15000 !
Le hasard a fait qu'il a fallu attendre le 1er avril pour dépasser les 15000 visiteurs. Et je les en remercie du fond du coeur.
Il est ainsi prouvé qu'il n'est pas nécessaire de faire du spectaculaire pour faire du chiffre...Il suffit de suivre le droit chemin, sans but caché, sans arrière-pensée ; partager simplement avec les autres, comme l'oracle de Delphes, ne pas simplement dévoiler, mais essayer d'indiquer, de montrer la voie.
Et cela est difficile car, dans notre monde qui fonctionne à vitesse accélérée, bien souvent le visiteur regarde le doigt au lieu de regarder la lune...Certes, sur certains sujets, j'ai essayé de présenter des pistes, telles que je les avais découvertes (comme par exemple hier avec le monogramme d'une tombe), sans jamais critiquer quiconque personnellement, mais, nuance, en démontrant ce qui ne va pas ou ce qui est faux. Et les certitudes sont un grand problème, ces certitudes qui permettent, ou prétendent, dominer les autres...jusqu'au moment où l'on s'aperçoit que la certitude est fausse ! Et parfois on ne veut pas le reconnaitre, errare humanum est, perseverare diabolicum ; diabolicum au sens du diabole qui sépare, en opposition au symbole qui relie.
Mon chemin est, comme je l'ai écrit ici et ailleurs, marqué de petits cailloux blancs que je m'amuse parfois à semer, quel dommage pour ceux qui font le marathon, soit avec eux-mêmes, soit contre les autres, car, chaussés de leurs bottes de 7 lieues ils ne voient pas les petits cailloux sur le chemin...
Et je terminerai ce remerciement par le portrait de l'un de mes amis (il y en a d'autres...)
Le couvent des Ursulines et Inès Santa Maria, Marc Haven, Cagliostro et ...Max Théon ?
Une personne fort discrète fut très souvent présente dans l'entourage du mage Philippe : Inès Santa Maria née à Buenos Aeres en Argentine le 15 avril 1846 et décédée à l'Arbresle le 15 aout 1913 (document officiel d'état-civil).
On nous dit que Nizier-Anthèlme l'avait missionnée à la vente aux enchères à la bougie de l'ancien couvent desUrsulines situé à l'entrée de l'allée menant au Clos Landar, elle augmenta ainsi la vente de 50 francs et remporta les enchères comprenant l'ancien couvent et la propriété l'entourant. Cette propriété fut ensuite dévolue aux époux Chapas et devint officiellement hopital militaire pendant le conflit 1914/1918.
On la retrouve en 1901, 6 rue du Boeuf à Lyon, servant de boite aux lettres dans les affaires de Russie, et à la même date aux Collonges avec Emmanuel et Victoire Lalande née Philippe ; en 1906 elle y vit encore ainsi qu'en 1911.
Elle décède donc à l'Arbresle, vraisemblablement aux Collonges le 15 aout 1913 et elle repose dans le cimetière municipal ; sa tombe a la particularité d'accueillir également Mme Louise Chapas née Grandjean (son mari Jean reposant seul au cimetière de Loyasse, nous ne nous arrêterons pas sur les péripéties avancées soi-disant sur cette séparation). Et comme toujours dans ces affaires Philippe nous découvrons une nouvelle anomalie : Mme Chapas est déclarée être née Graudjean !
Voici donc cette tombe :
approchons nous pour mieux distinguer les plaques :
n'avez vous rien remarqué ? par exemple le monogramme figurant sur le chapiteau : SM pour Santa Maria
regardons le de plus près
cela ne vous rappelle rien ? quelque chose déjà présenté sur ce blog
édition originale par Marc Haven (Emmanuel Lalande) présentant le sceau de Cagliostro
et on pourrait aussi, avec un peu de malice, ajouter le symbole utilisé par Max Théon :
Les cahiers de l'ailleurs...c'est fini !
Nous l'avons appris par un très court communiqué :
On ne peut que regretter cette nouvelle car cette publication était fort intéressante dans le domaine de la Tradition et de l'Initiation, le site continuera jusqu'à fin 2015. http://www.lescahiersdelailleurs.fr/
Les 5 numéros parus sont toujours disponibles par correspondance http://www.lescahiersdelailleurs.fr/?post_type=product ; rappelons que leur sommaire était chaque fois très riche par son contenu du fait de la qualité de ses auteurs. On peut en prendre connaissance en cliquant sur chaque couverture dans le lien boutique ci-dessus.
De même, on peut en trouver quelques exemplaires dans les librairies spécialisées, par exemple Cadence à Lyon.
Citation de Rameau
La Vérité étant universelle, les Etres jouissant de l'usufruit d'une intelligence dont ils n'ont pas la propriété, il n'y a de progrès possible en Connaissance que par le dépassement des prétentions individuelles, la mise en commun des compétences, la synergie des points de vue, pour une meilleure transparence des savoirs.
Rameau, un musicien au siècle des Lumières/Jean-Paul Dous
(mille fois merci à YJ)
L'AA cléricale de Toulouse avec un petit tour à Loyasse
En 1989 est paru aux éditions du Rocher un livre signé Gérard Galtier intitulé : Maçonnerie Egyptienne, Rose-Croix et Néo-Chevalerie, les Fils de Cagliostro. Il s'agit d'un ouvrage monumental d'environ 500 pages consacré à l'histoire de certains courants initiatiques sur une période s'étendant de la fin du XVIII ième siècle à nos jours (présentation de la quatrième de couverture)
Le contenu peut en paraître parfois quelque peu complexe, mais il est d'une richesse infinie pour ceux qui s'intéressent à ce sujet. L'auteur aborde non seulement les groupements initiatiques maçonniques mais également martinistes et rosicruciens. Il serait bon d'ajouter ...et autres. On y retrouve des noms souvent cités dans les articles de ce blog : Cagliostro, Papus, Haven, Péladan, Stanislas de Guaita, Bricaud, Saint Yves d'Alveydre, etc..., ces noms venant bien souvent en relation avec Nizier-Anthèlme Philippe dit Maître Philippe de Lyon.
Une ville également attire très souvent l'attention au cours de la lecture des pages : Toulouse, que de nombreux de ces personnages fréquentèrent. Il est absolument impossible de faire un tableau complet de tout cela, avec ses tenants et ses aboutissants.
En ce qui concerne cette ville, nous nous contenterons d'évoquer l'une des sociétés qui y "fleurirent" (ce mot doit évoquer quelque chose pour les amateurs d'Occitanie) : l'AA que Gérard Galtier classe parmi les société secrètes religieuses.
Il nous la présente comme une société secrète religieuse aussi discrète que puissante. AA ? Associatio Amicorumcongrégation chrétienne de charité qui subsista du milieu du XVII ième au milieu du XIX ième siècle. Elle ne fut connue que par la divulgation de ses archives au XIX ième (qui firent l'objet d'une étude parue en 1913 par le Comte Henri Bégouën). L'AA fut fondée vers 1630 par un Jésuite et se consacrait au perfectionnement moral de ses membres ( religieux et laïcs), l'entraide, la prière et l'évangélisation des malades et prisonniers , l'une des raisons de son secret était la modestie et l'humilité. Elles (car il y en avait d'autres d'importance moindre) s'engagèrent politiquement à la Révolution et pendant l'Empire pour défendre les prêtres réfractaires. Celle que nous abordons ici existait à Toulouse en concomitance avec de nombreuses sociétés plus ou moins secrètes religieuses ou initiatiques (il est à remarquer que bon nombre se présentaient comme des sociétés savantes de l'Art, poésie, musique).; le livre les étudient sur de nombreuses pages...
Mais, lorsque l'on approfondit les recherches, on découvre d'autres sources quant à l'AA : de très nombreuses pages lui sont consacrées dans Action pastorale et problèmes sociaux sous la Monarchie de Juillet (livre numérisé en Google books). Enfin, une étude fort documentée est parue sur le site de Bibliophilie Occultiste et Maçonnique : il n'est pas possible ici de reprendre cette étude fort longue et documentée, mais en voici le lien : http://pierrepainblanc.blogspot.fr/2008/07/une-socit-secrte-decclsiastiques-aux.html
Nous retiendrons le passage final (copie) :
En même temps, derrière cette congrégation ou Société visible, il y en avait une autre, occulte. C’était une véritable Aa, dont l’existence était un mystère, et le nom des membres un mystère plus grand encore. On comptait parmi eux plusieurs personnages politiques. Les réunions étaient secrètes et certains membres, notamment le prince de Polignac, ne s’y rendaient que déguisés. Avant d’être admis dans cette association, il fallait jurer le secret le plus absolu, promettre une obéissance aveugle à des chefs et à des mots d’ordre qu’on ne connaissait pas.
(tirage à 100 exemplaires dont aucun ne sera vendu)
Il faut remarquer que cette AA (et d'autres) semble fort hermétique... peut être que, pour ne pas rester dans le brouillard et comprendre, il convient d'avoir un esprit angélique. Cet article peut être complété par une étude publiée par la Société Perillos où dans une étude consacrée à l'Abbé Saunière on découvre des élément sur AA ainsi qu'une photographie de Philippe Encausse devant le tableau représentant son père..D'autant plus que nous connaissons l'attachement de Philippe de Lyon pour Toulouse : son titre de protecteur d'une société savante, son double prix remis par le docteur Surville (je dis bien : Surville), l'imprimeur de sa thèse médicale. Et qu'une plaque figurant sur sa tombe de Loyasse a disparu (je dis bien disparu) lorsque les héritiers auto-proclamés de la tombe ont donné ordre d'en faire le ménage ! Il est à remarquer que maintenant un poussin en plastique jaune y voisine une vierge sans mains, le tout du plus mauvais gout !