Le Clos Landar sort d'hibernation
Beaucoup de personnes se sont posées la question de comprendre pourquoi, depuis 4 mois, les fenêtres des greniers sont désobstruées et donc ouvertes à tous les vents, la pluie, la neige, les orages. Cela est voulu : en effet, la Municipalité passionnée d'écologie, y mène, avant une plantation de poireaux dans l'allée centrale, en compagnie d'Associations, une expérience d'élevage de pigeons-voyageurs. Il est donc nécessaire de laisser des ouvertures pour que ces pensionnaires puissent rentrer au bercail.
Cela posa d'ailleurs un problème car les corbeaux de l'Arbresle ont fait concurrence aux doux volatiles pour rentrer dans les combles abandonnés à leur place. Tant et si bien que plusieurs équipes s'y relaient, composées de volontaires communaux, de l'Association de défense du Clos (qui passe l'aspirateur une fois par mois) et de l'Office du Tourisme, pour chasser les intrus, les corbeaux pouvant être pris pour des pigeons.
D'autre part, du fait de l'accru de réfugiés, il a été décidé par les parties prenantes d'en accueillir certains installés au rez-de-chaussée de la maison de maître: ils sont ainsi nourris par un cuisinier-guérisseur, fort de son expérience de soupe populaire sur les marchés de quais de Saône, à Lyon ainsi qu'une cuisinière spécialiste de repas médicinaux à base de farine brésilienne si chère à Nizier-Anthèlme Philippe l'ancien et célèbre occupant des lieux. Ainsi des réfugiés affamés se restaurent pendant que certains cherchent toujours ardemment le trésor...notamment en sous-sols.
AJOUT DU 2 AVRIL
Des fouilles ont été organisées dans la petite retenue d'eau de la grotte et voici ce que l'on y a trouvé :