Et il y a un an...je m'aperçois que ce phénomène continue...réalité ou prétexte ? J'avais publié cette chronique il y a bientôt 3 ans...et je m'aperçois qu'elle est permanente et donc toujours d'actualité ! Donc je la republie avec les commentaires précédents...Et pour résumer j'utiliserai un verbe du langage familier : GLANDER, verbe que j'ai tendance à assimiler à des programmes de télévision qui attirent un public unoneuronique et dont ils se rassasient...

Je lis, j'entends l'expression "je n'ai pas eu le temps" .Il semblerait que les gens soient de plus en plus occupés.

Alors je vous propose ce petit jeu : le soir, prenez un carnet et notez-y ce que vous avez fait pendant votre journée...en vous posant la question de savoir ce que vous avez fait de si important qui vous a tant occupé...bien entendu, si vous en avez le temps...Et, après une telle expérience, il arrive parfois que l'on se rende compte...n'avoir rien fait...et que toutes les urgences n'étaient que de passage ...

remarque : je suis stupéfait quand je vois tant de personnes qui pianotent partout frénétiquement sur leur téléphone...dernièrement au restaurant j'ai bien ri  : 4 personnes pianotaient ainsi à une table, peut-être qu'ils dialoguaient ainsi entre eux ?

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"Je reconnais être fondamentalement un incorrigible optimiste..."

"...Aujourd’hui, il s’agira seulement de jeter un regard rapide sur les conditions dans lesquelles est plongée une humanité dont le plus léger remous affecte, en bien ou en mal, chacun de nous.

Je reconnais être fondamentalement un incorrigible optimiste. Je ne puis, chaque jour, comme c’est mon habitude, méditer sur la mort sans que ma pensée, avec insistance, revienne sur la vie et s’y attarde.

Extrait de l’ouvrage "Les Lettres de Nulle Part“ - Editions rosicruciennes 1990 - Chapitre I (pages 8 et 9). Raymond Bernard

Publié par le site des Baladins de la Tradition, et pour lire l'article complet :

https://www.bldt.net/Om/spip.php?article927

Publié par le site des Baladins de la Tradition, lien pour lire l'article complet 

En effet les Baladins de la Tradition m'ont demandé de ne pas publier la totalité de leurs articles, j'obéis donc à leurs désidératas pour ne pas leur porter préjudice.

Gérard-Antoine Demon

Chaque personne a 2 ascendants directs : sa mère et son père. Quant à eux ils ont chacun 2 ascendants directs, leurs mère et père, ce qui fait 4 ascendants à leur niveau et en cumul la personne a donc 6 ascendants...

C'est une formule mathématique obligatoire : il n'y a pas de dérogation possible ! Je me suis amusé, avec un tableur, à calculer nos ascendants sur plusieurs générations (31 seulement) ...et bien le résultat est spectaculaire ! La première colonne du tableau donne par génération et la seconde le total cumulé des ascendants pour 1 personne. Et cela est valable obligatoirement pour chaque Etre, et c'est incontestable ! ...Cela amène forcément à de fortes réflexions, des questions, mais il en est ainsi ...je vous laisse réfléchir...

Il va de soi que, pour un calcul plus collectif, le fonctionnement d'une fratrie, totale ou partielle, a une incidence énorme (mais incalculable), car, dans ce cas, les membres de la fratrie ont les mêmes ancêtres...

J'ajoute que cela peut paraître complexe, mais il faut prendre son temps pour comprendre...

Un lecteur m'a demandé un nouveau texte de Raymond Bernard...alors voici...

"La méditation, telle que nous l’avons connue jusqu’ici et pratiquée largement, est une méditation consciente. Elle est basée sur l’être physique, c’est la pensée qui génère une autre pensée pour essayer d’amener un état.

Ce texte est issu du site les Baladins de la Tradition http://www.bldt.net/Om/spip.php?article1259

J'insiste sur l'importance d'aller le consulter par ce lien car, en effet, la fin de l'article y ajoute un cadeau extra-ordinaire : un enregistrement de son  auteur sur le sujet (le texte ci-dessus plus un complément)

Publié par le site des Baladins de la Tradition, lien pour lire l'article complet 

En effet les Baladins de la Tradition m'ont demandé de ne pas publier la totalité de leurs articles, j'obéis donc à leurs désidératas pour ne pas leur porter préjudice.

Gérard-Antoine Demon