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Sur les Chemins de la Tradition
Sur les Chemins de la Tradition
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Qui suis- je ?

Je fus femme de ménage dans les pyramides, devenu rat de bibliothèques...passionné de recherches dans la Connaissance, de rencontres (certaines épicuriennes et mystiques) , partages, échanges. L'âge venant je me suis mis quelque peu en isolation avec pour devise principale des orteils aux oreilles...et dans un passé récent devenu un être rayonnant...Tous ces mots ont souvent des valeurs cachées...comprenne qui pourra...Cherchant devenu Passeur...

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30 mai 2022

c'est l'heure de la pub !

 

 

27 août 2021

Acrostiche célèbre

Attribué à un dialogue entre George Sand et Alfred de Musset, mais visiblement c'est un canular postérieur...

On doit isoler les textes en italique du contenu total :

Je suis très émue de vous dire que j'ai
bien compris l'autre soir que vous aviez
toujours une envie folle de me faire
danser. Je garde le souvenir de votre
baiser et je voudrais bien que ce soit
là une preuve que je puisse être aimée
par vous. Je suis prête à vous montrer mon
affection toute désintéressée et sans cal-
cul, et si vous voulez me voir aussi
vous dévoiler sans artifice mon âme
toute nue, venez me faire une visite.
Nous causerons en amis, franchement.
Je vous prouverai que je suis la femme
sincère, capable de vous offrir l'affection
la plus profonde comme la plus étroite
en amitié, en un mot la meilleure preuve
dont vous puissiez rêver, puisque votre
âme est libre. Pensez que la solitude où j'ha-
bite est bien longue, bien dure et souvent
difficile. Ainsi en y songeant j'ai l'âme
grosse. Accourrez donc vite et venez me la
faire oublier par l'amour où je veux me
mettre.

La réponse :

Quand je mets à vos pieds un éternel hommage
Voulez-vous qu'un instant je change de visage ?
Vous avez capturé les sentiments d'un cœur
Que pour vous adorer forma le Créateur.
Je vous chéris, amour, et ma plume en délire
Couche sur le papier ce que je n'ose dire.
Avec soin, de mes vers lisez les premiers mots
Vous saurez quel remède apporter à mes maux.

La réponse :

Cette insigne faveur que votre cœur réclame
Nuit à ma renommée et répugne à mon âme.
et j'ajoute une oeuvre toute personnelle :

Louis-Charles-Alfred et Amantine-Aurore -Lucile

Quand George et Alfred dans les bosquets musaient
Cela donnait des vers qu'après Musset buvait.

Leurs ébats étaient vifs ainsi que leurs débats
Et bien souvent ces vers volaient avec éclat.

Il la trompait souvent avec une marianne
Subissant ses caprices de jeune nymphomane,

Mais reprenant toujours la route de Nohant
Ne pouvant se passer de dame Dudevant.

Mais ils se fâchèrent à cause du cigare
Que la belle Amantine s'allumait tous les soirs.

Je ne savais que dire sur Monsieur de Musset,
Alors pardonnez moi tous ces jeux de mots laids.

 

10 juin 2021

Les restaurants : le retour !

Heureusement, dans toutes mes pérégrinations  gastronomiques, je n'ai rencontré ce genre d'établissement qu'une fois ! J'étais avec une amie complice de mes expéditions ; j'ai déposé un violent commentaire en moteur de recherches, et je me suis aperçu que je n'étais pas le seul, les commentaires étaient unanimes ! J'ai par la suite vérifié l'état du lieu : il avait fermé...

 

 

7 juin 2021

Les miaous de Rossini

 

 

9 avril 2021

Souvenir d'un été caniculaire

L'été fut chaud

(écrit en octobre 2003)

joconde

Cet été, quand j’errais dans les rues de Paris,

Je fus comme les autres bientôt comme un rôti.

Dans les couloirs du Louvre je me réfugiai

Pour pouvoir profiter de l’air climatisé.

Le hasard me guida devant Dame Joconde

Qui, comme d’habitude, attirait un grand monde.

Le peuple émerveillé la regardait, béat,

Moi, je l’imaginais me montrant ses appas

Soudain, en un éclair, la foule disparut :

Un étrange frisson alors me parcourut.

Je me retrouvai seul devant cette beauté

Et ressentis alors le temps comme arrêté.

Je crus à cet instant l’entendre soupirer,

Aussi près du tableau doucement j’approchai,

Elle murmura alors : oh, mon Léonardo !

Je me dis : elle se trompe, me prend pour Caprio,

Elle confond le Louvre avec le Titanic,

Evacuons en douce et surtout sans panique !

Elle me fait un clin d’oeil et son plus beau sourire,

Regarde à droite, à gauche, et descend du tableau,

Puis me prend par le bras : viens mon Léonardo.

Et nous voilà partis, bras-dessus, bras-dessous,

En franchissant les portes, elle me fait des bisous

Et les gardiens émus nous regardent sortir.

Après un hamburger avalé chez Mac Do

Nous prenons une chambre à l’Hotel du Lido.

Pendant de longues heures alors Mona m’usa,

C’est ainsi que j’appris à faire des entrechats.

Nous partîmes en balade dans la France profonde,

Au hasard des chemins d’une humeur vagabonde.

Pendant des jours entiers elle m’expliqua sa vie

Et comment elle devint l’égérie de Vinci

Rencontré débauché une nuit sur le Po

Alors qu’il lutinait de jeunes matelots.

Certains même firent croire qu’elle n’était pas femme

Et qu’elle était Monsieur et aussi croque-madame

Il l’embaucha aussi à être son Saint Jean

Mais faire ce tableau lui dura très longtemps :

Quand il disait : souris, elle grimpait sur la table.

Quand il éternuait, elle était charitable :

Elle dégrafait sa robe en disant : à vos souhaits

Et se retrouvant nue, elle le dévergondait.

Des avis de recherches recouvraient tous les murs

Pour retrouver la belle partie dans la nature.

On soupçonna les profs et les intermittents,

On alla au Larzac voir les manifestants,

Des vieillards dans leurs lits furent interrogés,

On surveilla les Corses et tous les immigrés.

Après une dernière nuit d’étreintes amoureuses,

Mona rentra au Louvre toujours aussi radieuse.

Avec tous les ministres on fit un vin d’honneur,

Et la France du bas retrouva le Bonheur.

Elle fut interwievée à la télévision

Qui lui organisa un jour de Monathon.

Et si pour vous ce soir je fais le mirliton,

C’est bien parce que depuis j’ai perdu la raison,

Et que je fais des vers qui n’ont ni queue ni tête,

Ayant perdu l’amour de cette femme parfaite.

Et dans les rues de Lyon je déclame ces vers

En espèrant draguer la Dame de Fourvière.

 

Gérard-Antoine Demon

(présenté au Salon des Poètes de Lyon)

 

 

12 mars 2021

Le phénomène de la perception des choses (réédition avec ajout)

perceptioncomme quoi tout est relatif, comme disait le grand Albert

Je republie ce dessin après avoir reçu directement un commentaire intéressant d'un ami correspondant qui me fait part de ses réflexions (le hasard fait qu'il a déjà publié ce dessin !) et que je présente avec son autorisation :

Nous interprétons la réalité en nous basant sur nos propres modèles, comprenons que nos modèles sont complètement imparfaits, tous nos modèles sans exception sont imparfaits.
En physique quantique le concept de mesure est central : toute réalité n’a pas d’existence avant sa mesure.
Autrement dit : la matière et tout ce qui la constitue ou même l’énergie n’ont aucune existence jusqu’à ce qu’elle soit mesurée ou observée.
 
Si vous êtes incapable de sortir de l’illusion, comment faites vous la différence entre l’illusion et le réel ? Qu’est ce que le réel ? Qu’elle est votre définition du réel ?
Si vous voulez parler de ce que vous pouvez voir et sentir, alors le réel n’est seulement qu’un signal électrique interprété par votre cerveau. 
Les perceptions sont des interprétations qui se basent sur un non-sens, et ce non-sens est juste un programme, une illusion, un mirage qui court dans l’univers et qui n’a rien à voir avec ce qu’est réellement la réalité.
La perception c’est pas un truc bisounours, ce n’est pas les choses que vous faites, mais comment et de quoi elles sont faites, et les choses sont composées de domaines de conscience qui sont complètement indescriptibles. Personne n’a encore levé le rideau là-dessus et peut-être que ça ne le sera jamais.

 

17 décembre 2020

Manifestation de Pères Noel ...

CAR IL N'Y A PLUS DE CHEMINEES ANCIENNES !!!

manif noel

MAIS

si l'on examine bien la photo, il apparait que ce sont des faux, opportunistes...

et quand c'était le bon temps :

père noel

par suite d'opérations de maintenance, le module commentaire avait été fermé : je l'ai remis en fonctionnement

7 décembre 2020

Alfred et George

Louis-Charles-Alfred et Amantine-Aurore-Lucile 
Quand George et Alfred dans les bosquets musaient
Cela donnait des vers qu'après Musset buvait.
Leurs ébats étaient vifs ainsi que leurs débats Et bien souvent ces vers volaient avec éclat.
Il la trompait souvent avec une marianne Subissant ses caprices de jeune nymphomane,
Mais reprenant toujours la route de Nohant Ne pouvant se passer de dame Dudevant.
Mais ils se fâchèrent à cause du cigare Que la belle Amantine s'allumait tous les soirs.
Je ne savais que dire sur Monsieur de Musset, Alors pardonnez moi tous ces jeux de mots laids.


selon une chronique de France-Inter du 19 juin 2014 :

Toute sa vie, George Sand aima la compagnie des hommes plus jeunes qu'elle, et c'est sans doute avec Alfred de Musset, de six ans son cadet, qu'elle eut la relation la plus tumultueuse. Ils se sont rencontrés lors d'un dîner organisé par le responsable d'une revue littéraire. Aucun coup de foudre ce soir-là. Elle le trouve excessivement snob. Il lui trouve un teint "olivâtre". Mais rapidement, il commenceront à s'échanger des lettres et pendant près de deux ans, en France comme en Italie, la romancière et le poète vont s'aimer passionnément, et se haïr passionnément...

Alfred de Musset et George Sand. © radio-france 

sand musset

vous pouvez par exemple consulter le PDF suivant publié par georgesand.artiste.free.fr

george_sand_et_ses_amants

26 juin 2019

Canicule

canicule

 

20 novembre 2018

Et aussi


reine

salut pêcheur

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Prendre le temps


de face 1

Prise de chez moi la maison d'un voisin, un certain Nizier-Anthèlme Philippe appelé Maître Philippe de Lyon...auquel je dis bonjour tous les matins en ouvrant mes volets...
 
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Sur les Chemins de la Tradition
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