Souvenir de 1936
A la suite d'une demande, je vous fais cadeau de la version symphonique en concert !
Il s'agit de la devise de l'Ordre du Temple reprise dans la musique de Patrick Doyle pour le film Henri V, adaptation cinématographique spectaculaire et immense de la pièce de William Shakespeare par Kenneth Branagh....Henry V (film, 1989) — Wikipédia (wikipedia.org) pour en connaitre le détail.
le texte complet de la devise est : Non Nobis Domine, Non Nobis, Sed Nomini Tuo Da Gloriam. (pas en notre nom, Seigneur, pas en notre nom mais au nom de ta Gloire)...VOIR en complément l'article suivant du 15/09 !
L’an prochain, ce sera mon successeur qui vous exprimera ses voeux. Là où je serai, je l’écouterai, le coeur plein de reconnaissance pour le peuple français qui m’aura si longtemps confié son destin et plein d’espoir en vous. Je crois aux forces de l’Esprit et je ne vous quitterai pas.
François Mitterrand - 31 décembre 1994
Mais rappelons-nous que pendant 12 ans il rencontra Marie de Hennezel, psychologue spécialisée dans l'accompagnement de fin de vie et préfaça l'un de ses livres : la mort intime. Lors de ces rencontres, elle prenait des notes, ce qui donna, suite à un conseil de Soeur Emmannuelle, un livre intitulé justement : croire aux forces de l'Esprit.
Attribué à un dialogue entre George Sand et Alfred de Musset, mais visiblement c'est un canular postérieur...
On doit isoler les textes en italique du contenu total :
La réponse :
La réponse :
Louis-Charles-Alfred et Amantine-Aurore -Lucile
Quand George et Alfred dans les bosquets musaient
Cela donnait des vers qu'après Musset buvait.
Leurs ébats étaient vifs ainsi que leurs débats
Et bien souvent ces vers volaient avec éclat.
Il la trompait souvent avec une marianne
Subissant ses caprices de jeune nymphomane,
Mais reprenant toujours la route de Nohant
Ne pouvant se passer de dame Dudevant.
Mais ils se fâchèrent à cause du cigare
Que la belle Amantine s'allumait tous les soirs.
Je ne savais que dire sur Monsieur de Musset,
Alors pardonnez moi tous ces jeux de mots laids.
Il me revient en mémoire le film magnifique de Fred Zinnemann (1966) actuellement rediffusé plusieurs fois sur Arte, avec ses interprètes extraordinaires : Paul Scofield, Léo MacKern, Robert Shaw, Orson Welles, Vanessa Redgrave, et bien d'autres...Film si magnifique qu'il obtint les 6 oscars les plus importants et 2 golden globes !
Il raconte qu'en 1529, Thomas More, juriste britannique, mais également auteur d'une oeuvre gigantesque politique, sociale et spirituelle, succède au Cardinal Wolsey comme Chancelier d'Henri VIII. D'amis que sont le roi et son ministre, ils vont devenir ennemis du fait du refus de Thomas de consentir au remariage du roi. Thomas ira jusqu'au marty, la décapitation. Il faut préciser qu'il fut béatifié par Rome en 1886, puis canonisé en 1935.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Un_homme_pour_l'%C3%A9ternit%C3%A9 : la fiche Wikipédia résume bien le film, son générique et ses récompenses.
Une très importante analyse littéraire a été présentée sur
http://www.en-attendant-nadeau.fr/2016/04/19/thomas-more-eternite/
réintégration de commentaires précédents :
Maintenant j'ai publié l'ensemble des textes composant mon projet : vous pouvez relire le tout dans son ordre chronologique (épisodes 1/2/3...à 7).
Pour en saisir l'atmosphère, voici le commentaire technique que j'y avais ajouté :
Le texte LE SOLEIL ET LE VENT est destiné à être un spectacle total et peut être le support conjoint de plusieurs éléments : présentation théâtrale, livre, cassette audio, cassette vidéo (court-métrage) ; il est constitué de textes dont certains ont déjà été publiés dans l’ouvrage PLEIN SOLEIL édité par l’Association ERE NOUVELLE en Mars 1985 dépôt légal n°9754 (droits personnels).
Le texte est destiné à être interprété par 3 personnages principaux : l’homme, la femme et l’intervenant, ce dernier présentant les textes intermédiaires “de commentaires”. Mais, dans la mise en scène, participent plusieurs figurants (la foule, les autres, les rencontres muettes). L’intervenant a un aspect strict et solennel (costume noir),pendant ses commentaires les personnages se figent, il apparait lors de la dernière scène en blanc, les autres dont l’homme et la femme peuvent avoir différents costumes.
Le spectacle est accompagné par une bande son : introduction et conclusion avec vent, cris de mouettes et musique/certains textes peuvent être en voix off pendant que les acteurs jouent la scène en muet/utilisation d’illustrations musicales à d’autres moments.
Une illustration sonore peut être utilisée en direct : par exemple un violoncelle ou instruments anciens dans un coin de la scène/lors de la scène de révolte contre le monde, on entend au début une percussion qui va grandissant, le rideau de fond s’ouvre sur 3 joueurs sur bidons métalliques style voyous, la scène se terminant par un crescendo maximum après la fin du texte/lors de la scène “à quoi ça sert la vie” interprétation par groupe de rap ou de rock.
Sur le côté de la scène système de projection où, lors de certaines scènes apparaissent en gros plan fixe les visages des acteurs au moment de leur jeu/illustration de la scène de révolte par images dures de guerre, d’enfants affamés, de répressions policières, de violences, de pollutions.
Le début du spectacle commence par le rideau fermé et sonorisation de la salle par bruits de vent et cris de mouette pendant 1/4 heure (en boucle) avant le début pendant l’installation des spectateurs.
Signal du début : silence, la lumière baisse lentement jusqu’à noir absolu, puis un soleil se projette lentement sur le rideau, ouverture coordonnée à la luminosité pendant le texte d’introduction en voix off, bruit de vent, cris de mouettes, début.
Décors réduits au minimum (rideaux), sobriété dans les couleurs, utilisation des éclairages.
La scène de la rencontre initiatique est jouée, avec apparition du personnage, robe blanche avec capuchon, gants blancs, visage non visible, avec projection de diapos de Montségur.
La fin du spectacle peut se terminer par un feu d’artifice d’intérieur, les personnages se figent, l’intervenant apparait en blanc, bruits de vent, cris de mouette, et dit texte conclusion, noir absolu, lumière, salutations ; pendant ce temps projection : ont collaboré à ce spectacle, tous les noms sans aucune distinction par ordre alphabétique, fermeture rideau, sonorisation en boucle bruits de vent et cris de mouettes pendant le départ des spectateurs.
Texte, mise en pages, entièrement revu et corrigé, le lundi 25 Juin 2012
Gérard-Antoine DEMON
D’abord, je t’aurai prise par la main, ou alors par l’épaule. Tu aurais semblée réticente, car tu n’aurais su que faire. Je me serai approché de toi, j’aurai posé ma tête sur cette épaule, tu te serais mise à trembler, moi aussi peut-être. A moins que ce ne soit toi qui aies fait le premier geste. D’une tendre caresse de la main sur tes cheveux, j’aurai rapproché ta tête contre la mienne. Et nous serions restés comme cela, longtemps, sans bouger. En même temps, je crois, on se serait aperçu que l’autre pleurait. Je t’aurai dit, à moins que ce ne soit toi, “ je te demande pardon “. Tu m’aurais répondu, à moins que ce ne soit moi “ moi aussi “. Toujours tendrement, lentement, j’aurai continuer à caresser ton visage, très délicatement, comme on effleure les pétales d’une rose, dessinant les contours d’un trait de plume, j’aurai essuyé tes larmes. A ce moment, tes mains se seraient rejointes dans mon cou. Et alors, mes lèvres, près des tiennes, auraient murmuré “ je t’aime Tu aurais murmuré “ je t’aime “.Et nous nous serions embrassés , passionnément, à la folie et nos corps se seraient reconnus et retrouvés, communiant dans la même explosion atomique.
Pour chacun d’entre nous, l’Amour a un prénom,
Que ce soit une fille, que ce soit un garçon,
On a toujours quelqu’un dans quelque coin du cœur.
Chacun pour ce prénom désire le bonheur.
Rester un moment dans les bras de l’être aimé,
Et de ces courts instants faire une éternité.
Des larmes de tendresse couleraient sur nos joues
De nos corps enlacés on formerait un tout.
Et puis...
Cueillir sa bouche en fleur épanouie
Pour en caresser les pétales,
Prendre avec douceur la rosée de ses lèvres
Pour savourer son goût de framboise fragile,
Sentir son corps vibrant
Au parfum de pervenche
Effleurer sa peau tendre
De fruit plein de soleil.
Et puis...
Faire un feu d’artifice
De mots et de tendresse,
Aimer en rose, en vert, en bleu,
Aimer de toutes les couleurs,
Aimer à en être arc-en-ciel,
Eclater son amour en un million d’étoiles,
Etre riche de milliers de secondes-bonheur
Illuminés par tant et tant d’années-lumière
Que l’on devient soleil
Qui brûle en un éclair
Et puis...
Vous ne comprenez pas ce qu’est un amour fou
Vous ne savez même plus ce que veux dire
Je t’aime.
Quand la vie et la mort n’existent même plus.
Quand l’Amour brûle tout
Ce que l’on a été.
Quand l’Amour détruit
Et donne l’éternité.
Quand on n’existe plus,
Etant devenu l’autre,
Et que l’on forme un tout
Soleil de l’Univers qui ne s’éteindra pas.
Quand on retrouve enfin la pureté du cristal,
Et inondant d’Amour,
Eclatant de bonheur,
Alors tout est possible.
Et puis...
Lorsque enfin réunis...
Mais il se fait trop tard...
Je vous dis bonne nuit...
Sans cigűe il à néanmoins perdu la tête...Des Hommes de cette trempe, le peuple en recèle il nous faut prier, faire et attendre l'Avatar de justice...il n'est dans aucune des primaires. Dans ces dernières l'on touvera au mieux des attitudes...primaires.